La Ville de Trèbes dans l'Aude à la loupe

Aviron Carcassonne, la jeune association présidée par Philippe Casier et basée sur les terres trébéenne du domaine de Millegrand, sera en effervescence, ce dimanche 21 mai, avec l’organisation d’une randonnée, soutenue par le conseil départemental, intitulée : Entre Corbières et Minervois.

Des rameurs venus de cinq clubs du grand sud seront accueillis dès le samedi après-midi. Le club met en œuvre ce week-end, le principe Ramons chez nos voisins, qui permet des rencontres avec d’autres adeptes de cette activité et l’occasion de la vivre dans de nouveaux environnements. Des membres d’Aviron Carcassonne ont participé à ce type d’animations organisées par les clubs de Port-la-Nouvelle, Balaruc…

Du débutant au confirmé tous les rameurs sont conviés à cette journée. Les participants venus d’ailleurs pourront profiter de l’esprit grande famille qui règne au sein de ce club qui, en à peine un peu plus d’un an d’existence, a connu un développement considérable. Le programme qui leur est proposé avec un convivial repas sous les figuiers ou encore la visite de la Cité. Le périple proposé sur les eaux du canal du Midi s’étend sur 18 km aller-retour entre les écluses de Trèbes et Marseillette, avec pour seule difficulté le passage de trois ponts malgré tout assez large.

Le public pourra assister, dimanche matin, à la mise à l’eau de la flottille de bateaux d’un, deux rameurs ou plus, ou les voir évoluer en cours de matinée sur le parcours.

➤ Le départ aura lieu à 9 h 30.

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La soirée karaoké de l’association Music show a tenu toutes ses promesses, et les participants s’en sont donnés à cœur joie.

Parents, enfants et même grands-parents, ont osé saisir le micro et interpréter des titres qui leur étaient familiers, ceux restés à table les accompagnaient volontiers en chœur. La large liste de titres, proposée par le DJ prénommé Michel, en suggérait pour tous les goûts et genres musicaux. L’émotion était aussi au rendez-vous comme sur le «Mon Dieu » de Piaf.

Avec quelques accessoires de fêtes prévus par les organisateurs les moments « dancing » réunissaient petits et grands dans l’euphorie.

Ça roule à la « petite boule »

Claude Saura, André Serviole et Alain Ferrer (un habitué des podiums), sous les couleurs de la Petite Boule trébéenne, ont été sacrés champions de l’Aude vétérans à La Palme.

À Marvejols, accompagnés de leur président Roger Forgues, les vétérans participaient aux championnats de ligue. Johana Bes et son papa Didier y portaient également les couleurs du club en mixte. Indépendamment, au championnat de l’Aude triplettes, trois équipes de la Petite Boule étaient qualifiées : l’une d’elles s’est inclinée en 8èmes de finale, dans des rencontres au niveau très élevé.

Chez les plus petits, le 08 avril dans le cadre du championnat par équipe de club, les deux équipes présentes ont gagné les deux rencontres, ensuite à Paziols le 06 mai où seule l’équipe des plus petits ne s’est inclinée qu’une seule fois dans la journée.

Le 08 mai à Caunes Minervois, 3 équipes se sont qualifiées pour participer au championnat de l’Aude triplettes, les 13 et 14 mai à Quillan, l’une d’elle s’est inclinée en 1/8ème de finale, dans un championnat au niveau très élevé.

Bruno, alias Nob, qui réside à Trèbes, a pris la décision d’y ouvrir son « Nob Tattooshop », qu’il avait précédemment installé à Carcassonne. Au 44, route de Narbonne, face à la station Dyneff, il a réagencé les lieux en un confortable espace d’accueil et un plus fonctionnel, pour son activité.

Originaire des Bouches du Rhône, ce sont une rencontre et la naissance d’une petite fille qui l’ont conduit à migrer dans l’Aude. Avec un goût et une aisance pour le dessin dès l’enfance, l’ouverture, il y a quinze ans, d’un premier salon de tatouage à Lambecs, son village près d’Aix-en-Provence, sera décisive… Le tatoueur l’a d’abord embauché comme dessinateur, jusqu’au jour où Nob a investi dans sa propre machine, et a réalisé son premier tattoo. Après un temps de collaboration, il ouvre son propre shop.

Ses talents de dessinateur lui permettent de tout réaliser dans des créations personnalisées, comme lors de notre rencontre, une fleur de lotus sur une jeune femme. Ses thèmes de prédilection vont tout de même vers le noir et gris qui valorisent l’effet 3D, l’ombrage. Il est très à l’aise dans le street art, le trash polka, le biomécanique qui donne l’illusion d’une ouverture sur un mécanisme dans le corps… Des styles tendances, qui amalgament le réalisme, la géométrie et la couleur.

Côté technique, il privilégie le dermographe traditionnel à bobine pour les tracés, et la machine rotative, plus fluide, pour les ombrages. En matière d’hygiène et de sécurité Nob travaille bien évidemment avec du matériel à usage unique.

➤ Contact : 07 61 70 35 60.

Au sein du vieux village, sur l’immeuble de logements sociaux Habitat audois, de la rue de Strasbourg que les Trébéens connaissent sous le nom de l’Ambulance, une plaque de mémoire,  a été dévoilée.

À l’initiative du comité trébéen du Souvenir français animateur de la mémoire patriotique, présidé par Jean Claude Hariot-Lassiva, elle rappelle l’existence, en ce lieu, d’une annexe de l’hôpital de Carcassonne durant le conflit 14-18.  Sur cette plaque figure le nom d’Antoinette Barbaza, épouse du maire François Jougla, celle qui a été à l’initiative de l’aménagement, en septembre 1914, de cet hôpital auxiliaire dans les locaux qui étaient auparavant l’école libre Saint-Charles. En un peu plus de deux années, 344 blessés ou malades ont été soignés dans cet établissement et seulement deux décès ont été à déplorer.

Sur son site trebes1914.fr, Patrice Leplat a recueilli de nombreux documents et informations relatifs à l’histoire trébéenne 14-18, il y consacre une page à « l’Ambulance ».

😉 Plutôt que de procéder à un copier/coller, nous vous invitons à découvrir l’histoire de cet immeuble Trébéen sur son site!  Cliquez ICI

 Les p’tits bouts dans leur jardin juste à coté de l’école où ils  font la cueillette des fèves qu’ils ont plantées en février dernier!

L’école occitane la Roséla poursuit son évolution et ouvre les inscriptions pour l’année 2017/2018.
Cette maternelle bilingue occitan/français et à dimension humaine s’adresse aux enfants à partir de 2 ans et demi et elle accueille aussi les enfants des villes et villages environnants … 😉  donc les petits Trébéens. Pour plus d’infos voir la page que nous lui consacrons.  Cliquez ICI
 Pour assurer l’accueil de ces enfants lors de leur passage en classes élémentaires, la municipalité de Villedubert a programmé l’agrandissement de l’établissement pour 2018. La rentrée prochaine se fera avec le soutien de Carcassonne Agglo qui prendra en charge l’encadrement périscolaire.
Contact : 04 68 78 48 92 – 06 26 77 54 10

Un marché aux fleurs le vendredi 19 mai.

Pour contribuer au fonctionnent de l’école, par leur engagement associatif les parents proposent un marché aux fleurs vendredi à partir de 17 h.
L’occasion de rencontrer tous ceux qui participent à la vie de cette école maternelle.

Vous pouvez dès à présent réserver vos plantes en complétant le bon de commande CLIQUEZ ICI

Isabelle Beaujouan, la présidente du club de plongée les Carangues, et Ludo Deregnaucourt, qui comme elle, est qualifié initiateur niveau 4, étaient tous deux présents pour la grande Spartan Race, au lac de la Cavayère. Ils ont été sollicités pour étoffer le dispositif sécurité de cette course à obstacles spectaculaire.

D’autre part, le club pré- pare ses prochaines sorties en mer. Les membres iront à Banyuls, le 14 mai, ensuite à l’étang de Thau, puis il s’agira d’une sortie plus exceptionnelle à Coléra, puisqu’elle réunira les plongeurs et les apnéistes.

La soixantaine de chanteurs et chanteuses qui compose le « Chœur de l’Aude » donnera à entendre le vendredi 19 mai à 20 h 30 en l’église Saint Etienne, son programme de la saison 2017, inédit et original essentiellement issu de la Renaissance. Initiée par les compositeurs de l’école franco-flamande, la messe polyphonique se développe à cette période au point de devenir un des genres musicaux les plus savants et en vogue.

Cette « Messe » en cinq parties (kyrie, gloria, credo, sanctus et agnus Dei), dirigée par le chef de chœur William Hedley, provient des œuvres de Palestrina, Tallis, Monteverdi, Victoria et Byrd. S’y ajoutent trois autres pièces tirées du répertoire sacré de Bruckner, Mendelssohn et Anerio. Les mélomanes apprécieront la soliste Julia Pastor cette brillante soprano au prestigieux parcours, qui par ailleurs se produit en récital solo. Elle sera ce soir-là accompagnée au piano par William Hedley et interprétera quatre extraits des chefs d’œuvre parmi les plus célèbres de Mendelssohn, Haendel, Bach et Rossini, tandis que le chœur chantera a cappella. Ce concert de ces choristes à rayonnement départemental, durera environ une heure quinze, sans entracte. Entrée gratuite.

Si les jeunes du Music show se succèdent habituellement à la salle Paul Riquet par groupes répartis en tranches d’âges, mercredi dernier ils avaient rendez-vous pour le filage du concert qu’ils présenteront le samedi 20 mai. En cette même salle, pour ce dernier concert de la saison qui s’intitule : D’hier à aujourd’hui, la trentaine de jeunes du Music show, qui ont entre 8 et 19 ans, a renouvelé la playlist et travaillé des titres tirés de succès datés et d’autres très actuels de L’homme à la moto de Piaf, à Les yeux de la mama de Kendji Girac…

Chacun aura son moment vedette en étant le leader de sa chanson, accompagné par ses camarades sur les refrains. La soirée sera aussi ponctuée de solos sur par exemple The rythm of the night ou de duos sur Make’em laugh issu de « Chantons sous la pluie » et de titres en collégiale comme Une autre histoire. Les hésitations craquantes des plus jeunes, alterneront avec la maîtrise du jeu de scène des ados et leurs prestations époustouflantes qui saisissent le public. La logistique du concert sera assurée par le trio d’adultes qui les accompagne tout au long de l’année, dont Michèle qui, discrètement, en coulisse, coordonne le groupe et les entrées sur scène.

Les membres du Souvenir français, autour de leur président Jean-Claude Hariot Lassiva, sont très mobilisés dans leur mission, et multiplient les actions pour transmettre aux jeunes générations la mémoire des hommes qui ont donné leur vie pour le pays et ainsi les honorer.

Ils sont à l’origine d’un projet auprès des élèves de classes de 3e du collège Gaston-Bonheur, axé sur la résistance, et plus particulièrement celle du département. En un premier temps, le colonel Collin est intervenu durant les cours du professeur d’histoire, Audrey Bouche, pour relater aux collégiens l’histoire des maquisards.

Au cours d’une sortie, deux classes se sont rendues à Trassanel pour un périple « dans les pas des résistants de la Montagne noire ». Les élèves y ont découvert que même si l’Aude, par sa situation géographique, n’a pas été un grand foyer de résistance, il a tout de même compté des maquisards et des réseaux souterrains, notamment le Corps franc de la Montagne noire, réunissant divers groupes des départements voisins. Guidés par le colonel et des membres du Souvenir français de Trèbes, les élèves ont pu imaginer ce qu’ont vécu ces résistants en ces lieux très proches d’eux. Ils ont ainsi, en une boucle, découvert plusieurs lieux de mémoire, dont le chemin escarpé de la grotte de Trassanel, où une plaque rappelle : « ce sentier fut le calvaire de 47 jeunes maquisards qui ont sacrifié leur vie pour que demain tu sois un homme libre ». Des témoignages d’un passé pas si lointain, que les collégiens ont pu appréhender au cours de cette journée.

Jean-Marc Lafon est un homme d’engagement, de dévouement, et de foi en l’être humain. Ce Trébéen, pétri d’une personnalité cordiale et généreuse, alterne et conjugue, entre ses différentes responsabilités de président de Trèbes TT, de l’Ufolep, de la Maison des associations de Trèbes.

Nommé président du club de VTT trébéen au début des années 2000, il s’est rapidement rapproché de l’Ufolep lorsque s’est manifesté le besoin de s’affilier à une fédération sportive d’une part et de former les accompagnateurs de l’association résolument tournée vers les jeunes. En ayant mis le doigt dans l’engrenage, Jean-Marc est très vite entré au comité directeur de l’Ufolep Aude, dont il est devenu le président il y a cinq ans, réélu en novembre dernier.

En parallèle, il s’était également engagé au sein du bureau de l’OMSL Trébéen qui, lors de sa totale refonte en février dernier pour devenir la MAT, l’a aussi nommé président.

Les motivations de l’Ufolep lui collent à la peau et il est convaincu que le sport est là pour éduquer, pour s’ouvrir aux autres, pour favoriser l’intégration des minorités un petit peu oubliées : les sports féminins, adaptés, personnes âgées… En résumé, le sport vivre ensemble.

« Le sport n’est pas un but mais un moyen, nous ne sommes pas là pour organiser des compétitions, nous sommes là pour que les gens puissent se rencontrer, créer du lien », souligne-t-il. Et ce leitmotiv, il le met aussi au service des associations dites de loisirs.

Deuxième rencontre avec le chanteur toulousain Chouf, dans le cadre de la 12e édition du concept « d’Artistes à élèves », initié à la base par Piémont d’Alaric, et piloté cette année par Carcassonne Agglo.

Les quatre classes de 3e, qui sont accompagnées dans ce projet par les professeurs de français Gérard Bildan, Florence Mendez et Céline Monnier, avaient transmis à l’artiste les textes qu’ils avaient créés, seuls ou à plusieurs. L’heure était au choix de ceux qu’ils présenteront sur scène le 1er juin prochain, au Chai à Capendu, où les élèves rejoindront trois classes du collège de l’Alaric. Les collégiens ont démontré une importante implication dans des thèmes divers auxquels ils sont sensibles. Certains sur des sujets légers de leur quotidien, d’autres profonds comme celui qui évoque le décès d’un ami. Chouf confiait à Dominique Ejarque, le principal de l’établissement, qu’il les considérait de grande qualité. Après une sélection difficile, les textes étaient ensuite relus en musique avec l’artiste à la guitare.

Il leur confira une bande-son pour qu’ils puissent travailler leurs interprétations pour le grand soir. La créativité des jeunes rédacteurs, qu’ils révéleront sur scène à travers la lecture et de l’expression orale, sera accompagnée par le violon d’une collégienne.

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Au COSEC, samedi, les handballeurs moins 18 départementaux ouvraient la journée avec une victoire 32 à 22, face à Saleilles. Les joueurs très en soutien les uns des autres, ont montré de très belles tactiques et de très beaux buts, avec un gardien hors pair qui enchaîne des arrêts. 17 à 10 à la mi-temps, et en 2e période avec un peu plus d’agressivité, l’équipe remporte duels et tirs de loin. Prochaines rencontres avec un déplacement à Agde puis le dernier match à domicile où la première place sera disputée.

Pour les seniors garçons région, la rencontre au Vigan de ce samedi s’annonçait difficile. La première mi-temps était à l’avantage des locaux plus efficaces dans le dernier geste : 15-14 à la pause. Les Audois se ré- veillent en seconde période, resserrent leur défense et finissent enfin leurs attaques avec succès. Score final 26- 34. Ils empochent 3 points précieux dans la course à la montée.

-13 garçons victoire 15-20 contre Minervois
-18 territoriaux victoire 32-22 contre Saleilles
-18 région défaite 30-32 contre Teyran-Jacou
Seniors filles territoriales victoire 20-0 contre Perpignan
-16 Med victoire 19-29 contre Toulon

Quelques minutes du match des -18 ter !

Au tournoi de Mèze ( Hérault ) le week-end dernier

Une semaine après leurs victoires aux championnats de l’Aude, nos meilleurs cadets sont partis à Mèze se confronter aux adultes. L’air iodé du bassin de Thau leur a été largement favorable puisqu’Alexis Péreyrol s’est adjugé le tournoi Simple Homme catégorie D, alors que les deux amies  Noellie Ourliac et Camille Raynaud ont, elles, dominé le tournoi Double Dame série R, battant ainsi les meilleures équipes de la région.

Félicitations à tous ces jeunes qui du haut de leurs 15 ans sont venus à bout de joueurs adultes expérimentés. Au BCT, la relève est assurée !

Trèbes accueillait la première assemblée générale de l’entité fusionnée des Vignerons du Triangle d’Or avec à sa tête le binôme président/vice-président Olivier Cabirol et Marc Dézarnaud. Le lourd bilan des récentes matinées de gel était hélas d’actualité et le président, les assurant de son aide, encourageait les adhérents à rester combatifs. S’imposait ensuite le constat de la fusion réussie des caves de Conques et Trèbes et l’objectif de produire des vins qualitatifs en 2016 est rempli. Le climat commercial difficile était aussi à l’ordre du jour. Olivier Cabirol insistait sur le fait que l’implantation d’une vigne doit toujours se faire dans une logique économique et qu’un seuil de replantation annuel minimum de 3 % est nécessaire pour le maintien du potentiel de production de la cave. À propos de l’environnement : des dossiers sont en cours comme la démarche MAE (Mesures Agro Environnementales) en particulier sur Trèbes où Marc Dézarnaud a mené l’action qui a déjà pour effet de diminuer l’utilisation d’herbicide dans les parcelles. Grâce à la fusion, ces initiatives gagnent du terrain dans les mentalités des adhérents de l’ensemble du vignoble. Concernant le millésime 2015, il s’avère peu quantitatif mais d’une très grande qualité. Des prix soutenus ont permis de rémunérer comme jamais depuis quinze ans les adhérents.

■ Les jeunes retraités étaient à l’honneur
Paul Cugueillère pour ses 42 ans de dévouement pour la cave de Trèbes ( relire notre article ) et Michel Tandou, le directeur du Triangle d’Or, qui confie désormais ses responsabilités à Nicolas Triviaux. Étaient évoqués ses 35 ans d’activité marqués par les fusions successives qui furent un succès en grande partie grâce à lui, les gestions économiques, commerciales, techniques et humaines toujours impeccables. Olivier Cabirol soulignait : « Le passage de Michel Tandou entre les murs de la cave laissera une empreinte indélébile ».

Le collège Gaston-Bonheur était l’un des centres de corrections de « Certification Allemand » de l’académie de Montpellier. L’établissement trébéen a été choisi pour représenter les départements de l’Aude et des Pyrénées-Orientales. Ce diplôme d’acquis de la langue allemande, qui concerne les élèves de classes de 3e et 2de , est reconnu dans de nombreux pays. Cette certification est basée sur quatre épreuves, deux (en écrit et oral) concernant la compréhension et deux autres permettant d’évaluer l’expression (également en écrit et oral). Une attestation pour chaque élève participant regroupe les résultats de ces quatre évaluations qui sont qualifiés par les notations B1 (niveau indépendant) ou A2 (niveau élémentaire). Les candidats qui obtiennent une notation pour les quatre épreuves se voient décerner un diplôme.

Seize professeurs, qui dispensent l’enseignement de cette langue, venus des deux départements, étaient réunis pour corriger quelque 200 copies. Concernant le collège Gaston Bonheur, parmi les élèves de Laars Doormann, ils étaient seize collégiens sur vingt à participer à ces épreuves.

Comme chaque année depuis onze ans, les écoliers trébéens ont participé au prix de littérature jeunesse « les Incorruptibles » décerné par les jeunes lecteurs. Des bambins de maternelle aux plus grands des classes élémentaires, ils ont lu la sélection de quatre ou cinq livres adaptés à leur niveau. Christelle, notre responsable de la médiathèque, bien rodée à la logistique de ce petit événement avait planifié les séances de votes.
Prise des bulletins, choix dans l’isoloir, dépôt dans l’urne, émargement… Tout comme leurs parents !