7 novembre 2011Commentaires fermés sur L « easy english » (L’anglais Facile ) pour les petits élèves de Béatrice
Tous les mardis soir, ils rejoignent leur « teacher » Béatrice Masson dans une salle de l’OMSL pour bénéficier de sa pédagogie à la fois ludique et efficace. Par petits groupes, correspondant au niveau scolaires de primaire, ils se familiarisent avec les bases de la langue anglaise par des méthodes qui sont loin d’être rébarbatives. Jeux, Chants, dessins… sont les supports (avec agrément académique) qu’utilise Béatrice pour cet apprentissage qui leur facilitera grandement, leur entrée en 6ème dans cette matière. En rendant visite à « english mini school » ce sont des enfants studieux mais le sourire au lèvres que nous avons rencontrés. Vous pouvez joindre Béatrice au 04 68 69 29 90 ou 06 25 03 60 00
7 novembre 2011Commentaires fermés sur Un geste du Coeur
Il est des actes généreux qui se font discrètement, sans faire de bruit. Nous avons découvert que chaque année notre horticulteur trébéen Norbert Laffont offre à la municipalité les chrysanthèmes qu’il n’a pas vendu à la Toussaint. Ces fleurs sont destinées à fleurir le carré militaire et ce geste mérite d’être salué.
6 novembre 2011Commentaires fermés sur Réussite du 1er Easy Trail de Trèbes
Parfaite organisation de Laurent Roulhac et ses bénévoles pour ce premier Easy Trail de Trèbes. Nous avons suivi tout au long de cette matinée les courageux sportifs qui y participaient malgré une météo exécrable qui rendait le circuit difficile. Parmi eux, on notait la présence de Trébéens : le sympathique couple Montagut du Cabinet Aline Battut, Emmanuel Nagy d’USB Soft, Laurence Garcia la fille d’Hélène et Casimir, Joaquim Galvez … et … et … oups ! nous en oublions surement et leur présentons nos excuses. Les photos de cette 1ère édition très réussie.
3 novembre 2011Commentaires fermés sur Les Rode Aïres Autour de Châtaignes et Bons Vins
Les images qui illustrent les sorties des Rode Aïres (voir rubrique associations/randonnée) reflètent déjà la bonne humeur et la convivialité qui règnent au sein du club, la soirée d’hier confirme plus encore l’excellente ambiance de l’association. Ils se sont retrouvés pour fêter l’automne, autour de châtaignes et bons vins (consommés avec modération bien évidemment). Pour le « graillou » sorti du panier, tartes et autres « préparations maison » ont régalé les convives. L’occasion pour le président Gérard Falandry de transmettre le planning des prochaines sorties et photos souvenirs des précédentes.
2 novembre 2011Commentaires fermés sur Le Silure: Monstre d’Eau Douce, inquiète les pêcheurs du Lac
Ces temps derniers, dans le petit monde des pêcheurs, il est un sujet de discussion qui préoccupe grandement : Le silure. Ce poisson considéré comme un « carnassier charognard » s’est installé dans les eaux du Lac. Même si les individus de cette espèce péchés à Trèbes ne dépassent pas 80 cm, sur les photos que nous avons trouvé sur le web ( nous nous engageons à retirer toute photo sur demande de leur auteur) vous pourrez comprendre pourquoi ce poisson est considéré comme un monstre d’eau douce.
Si l’arrivée du silure est récente en France (L’abbé Bonnaterre en 1788, parle du silure glanis, dans Tableau Encyclopédique de la Nature, en appelant ce poisson le mal), il s’agit cependant de la deuxième vague de colonisation. Les archives paléontologiques prouvent que le silure glane était présent en France au Pliocène (-2 à -5 millions d’années) près de Perpignan. Mais les glaciations ont eu raison des populations de silure implantées à cette époque, et l’aire de répartition a considérablement diminué, pour ne subsister que dans certaines zones-refuge, notamment le Danube pour les populations de silure d’Europe centrale.
Les premières interrogations concernent l’arrivée de ce poisson dans le lac : sont-ce des œufs fixés sur des pattes de canard ou autre oiseau, est-ce une main malintentionnée? Finalement peu importe la réponse, le fait est qu’ils sont là et bien là au grand dan de nos pêcheurs. Déjà en juin 2009 : première alerte, 150 silures avaient été signalées et le 4 septembre dernier une vingtaine de spécimens a été péchée. L’ouverture de l’un d’eux confirmait la voracité de la bête à se nourrir des truites déversées dans le lac puisque son estomac en contenait 2. Avec les déversements de truites effectués régulièrement, on imagine facilement que le silure avec sa bouche démesurée doit se croire dans un super garde-manger.
Au début de l’été le conseil d’administration des pêcheurs les incitait à contribuer à l’éradication de ce fléau en utilisant le leurre ou le vif. Hélas, l’état des lieux en ce début de saison hivernale révèle que le seul moyen d’espérer débarrasser le lac de ces voraces intrus est d’envisager la vidange totale du Lac. Une telle opération ne peut être réalisée qu’avec l’accord des différentes instances concernées dont en premier lieu la municipalité. Les demandes ont été effectuées…
Si ce couteux projet se réalise, il s’agira dans un premier temps d’arrêter les pompes et d’évacuer l’eau pour n’en laisser qu’une cinquantaine de centimètres. La suite de la procédure se concrétiserait par une pêche électrique qui assomme seulement le poisson. Les truites récupérées seraient confiées au pisciculteur. En ce qui concerne les poissons blancs, gougeons, gardons, carpes, tanche aucune décision n’est arrêtée. La dernière phase de récupération se ferait au filet et serait suivie du nettoyage du fond. Outre les moyens financiers cette opération sous entendrait d’importants moyens humains, mais pour cela les membres du CA de la société de pêche devraient pourvoir compter sur leurs nombreux adhérents et qui sait … quelques Trébéens se sentiront peut-être solidaires et pourraient prêter main forte. En l’attente Jean Pierre Arcier le président et nos pêcheurs Trébéens restent très préoccupés.
Photos : l’un des individus de cette espèce mesure 2,52m
Après un zoom sur Claude Egéa à l’occasion de son passage au festival de Jazz de Conilhac, c’est un autre Trébéen que nous mettons en lumière dans le cadre de la 25ème édition de cet évènement. Jo Moutou, ce personnage haut en couleur, arborant de belles bacchantes qui finissent en barbichette est lui aussi l’un des éléments clés de ce festival. Depuis une dizaine d’années, avec son épouse, ils contribuent à l’élaboration de ces dates aujourd’hui renommées, dédiées au Jazz. C’est à lui, qu’est confiée, chaque soir la charge de la présentation des artistes qui se produisent. Simone, elle, participe à la logistique indispensable à une telle manifestation. Le 5 novembre sera une date particulière pour cet artiste dans l’âme puisqu’il sera aussi sur scène avec « Ghost Note » juste après la 1ère partie qui sera assurée par Swinger Singer ( Jazz Vocal).
Le chant… une longue et belle aventure pour notre Trébéen… L’attrait pour la musique remonte à sa petite enfance, sûrement contaminé par son papa Louis Moutou qui, après guerre, était le professeur de musique de la ville. Il précise d’ailleurs avec amusement qu’il a su lire la musique avant le français. Avec la clarinette et le saxo pour instruments de prédilection, il embrasse tout de même en parallèle la profession d’enseignant avec un poste de professeur de français. Il exerce au collège de Capendu de 1977 à 2000 où il prodigue également des cours de musique. Dans ce cadre là, il crée avec le soutien des chefs d’établissement qui se sont succédés, un groupe de chant et il garde de fabuleux souvenirs de ces belles années où il a pu transmettre sa passion sur un plan culturel avec au final de beaux spectacles. Une autre expression artistique, le théâtre, même si aujourd’hui par manque de temps il a du la délaisser, a aussi occupé une grande place dans la vie de ce passionné.
En 1992, ce sont les parents des élèves capenduciens qui expriment leur envie de partager eux aussi cette aventure musicale et ainsi nait « La Chorale de l’Alaric ». L’ensemble vocal de 36 choristes fêtera en 2012 ses 20 ans, deux décennies de chants dans de multiples registres tels que le gospel, négro spiritual, classique… avec la particularité de toucher aussi au domaine de la chanson humoristique.
La genèse du groupe « Ghost Note » en 2004 découle quant à elle d’un stage animé par le spécialiste international de jazz vocal Cyril Martial, à Conilhac avant le festival. Les bénéficiaires de ce stage ont souhaité prolonger l’aventure et ont donné naissance à cette formation vocale. Nicolas Grauby, fils du président du Festival de Conilhac en est le chef de chœur et trois musiciens, dont le batteur Hugo Miquel qui est le petit fils de Jo et Simone, accompagnent les chanteurs.
Depuis un an environ, la qualité de leurs prestations suscite de plus en plus de demandes, et les membres récoltent ainsi la récompense de leur travail assidu. Heureuse évolution pour ce groupe qui fonctionne en parfaite osmose sur le plan humain, tous animés par la même envie de progresser. Pour vous convaincre de la belle facture de leurs interprétations : écoutez sur leur site le titre « we glorify » cliquez ICI
Pour cette date du samedi 5 novembre, la formation devient « Ghost Note and Friends » par l’accompagnement de 5 autres musiciens dont 3 cuivres. C’est donc 8 instruments qui viendront soutenir l’harmonie des voix. Ils auront à leur répertoire ce soir là des titres tels que : Lua Soberena, Minnie The Moocher (du film des « Blues Brothers ») , Joshua …
D’autres chants originaux composeront leur représentation.
29 octobre 2011Commentaires fermés sur Soirée de Cité Country Music
Les membres de l’association Cité Country Music répondent volontiers présents pour animer des évènements comme ils l’ont fait par exemple pour les Virades de l’Espoir. Vendredi soir, ils avaient programmé à « Paradis Squash » sur la D6113 (anciennement RN 113) une soirée à laquelle étaient conviés leurs proches et où tous avaient joué la carte vestimentaire noir et blanc. La danse était bien évidemment au cœur de ce rendez vous qui permettait aussi à tous de se retrouver autour d’un sympathique buffet.
29 octobre 2011Commentaires fermés sur De joyeux monstres pour Halloween
C’est une folle soirée que les associations Funny Danse et Danse & Complicité 11 ont programmé pour fêter halloween. Les joyeux adeptes de zumba et danses de salon, avaient soigné costumes et maquillages… à constater en images…
28 octobre 2011Commentaires fermés sur Repas de l’Amitié pour Nos Ainés
Tel un rituel les membres du Club de nos Ainés se retrouvent chaque mois pour leur repas de l’amitié. Ils partageaient ce jour là une délicieuse paella concoctée par le personnel du service restauration du Nid Trébéen.
27 octobre 2011Commentaires fermés sur La Compagnie Clair Obscur présente « Une Comédie Romantique »
Une dernière répétition hier soir dans la salle des Floralies et voilà la troupe trébéenne « Clair Obscur » prête pour sa représentation ce soir à La Livinière. Autour des personnages principaux Stéphanie Cousinié (Anita) et Arnaud Mallevialle (Léon) évoluent Anna Bonnaud-Matéos, Hervé Cabot et Jo Pages accompagnés de la technique dirigée par Sylvie Jeannoel. Nous avons eu grand plaisir à suivre leurs interprétations de la pièce de Gérald Sibleyras « Une comédie Romantique » en voici le synopsis…
« Anita et Léon, amants d’un soir se font croire, afin de pimenter leur relation, qu’ils sont mariés. Ils se revoient, jouent au jeu de l’adultère. Très vite ils basculent dans l’engrenage du mensonge… ils sont contraints de se séparer, mais ils ne peuvent plus se passer l’un de l’autre. A travers cette comédie populaire, trois façons de concevoir l’amour avec trois histoires qui s’entremêlent : Une sur la rencontre dans une gare, une autre sur une douzaine d’années de vie commune et le phénomène de la psychothérapie de groupe, et une dernière qui amène l’amoureux épris à poursuivre sa dulcinée à travers la France au gré de ses déplacements de kiné. »
25 octobre 2011Commentaires fermés sur A la Pépinière de Norbet Laffont: le temps des Chrysanthèmes
Nous approchons à grands pas de cette date à laquelle nous pensons plus particulièrement à nos défunts et fleurissons leurs sépultures. Norbert Laffont dans sa pépinière sur la route de Narbonne apporte les derniers soins à ses chrysanthèmes, cette fleur qui par sa floraison naturelle à cette période de l’année, est devenu celle de nos chers disparus.
Chez cet horticulteur trébéen, à la truculente et sympathique personnalité depuis les boutures du mois d’avril dernier, des dizaines et des dizaines de variétés de cette espèce grandissent doucement.
En juin des milliers de ces fleurs ont rejoint leur pot (environ 4000) où elles s’épanouissent aujourd’hui. Harmonieusement disposées dans un champ, où sous serre les belles d’automne offrent au regard d’immenses tapis aux teintes multiples.
Norbert, assisté par Corinne Escoruela, a durant tout l’été bichonné ses cultures » il faut les surveiller comme le lait sur le feu, effectuer une taille régulière, un arrosage pot à pot qui nécessite 4h tous les 2 jours». La date de leur floraison est déterminée par celle de la dernière taille de pincement (Juste les extrémités). De jeunes stagiaires du Lycée Charlemagne apportent leur aide pour ces travaux délicats. On compte en moyenne chaque année 10% de pertes liées aux intempéries, à la casse ou à l’absence de fleurs. C’est une culture complexe qui ne laisse pas droit à l’erreur.
Chaque année la tendance est à une variété ou une autre, mais la traditionnelle grosse fleur garde une place privilégiée dans les préférences. Du mauve clair au jaune lumineux en passant par de superbes teintes cuivrées, brique ou feu, sans omettre le blanc, la palette de couleurs est des plus riches et satisfait tous les goûts.
Si vous n’êtes pas attiré par le chrysanthème, vous trouverez chez cet horticulteur qualifié de belles compositions de plantes et fleurs de saison aux belles nuances. Déjà quelques revendeurs et surtout des particuliers viennent faire leur choix parmi cette multitude de variétés.
Acheter Trébéen, c’est pour chacun d’entre nous, contribuer à la survie des professionnels de notre ville … alors rendez visite à Norbert Laffont pour vos achats de la Toussaint ! Après cette date ce trébéen à la main verte se consacrera à ses autres variétés de fleurs et plantes qui viendront tout au long de l’année embellir nos jardins, colorer nos évènements et moments forts.
25 octobre 2011Commentaires fermés sur Au Revoir à Soeur Elisabeth
De très nombreux membres de la paroisse avaient tenu à être présents auprès de Sœur Elisabeth pour lui témoigner leur affection et lui adresser un chaleureux au revoir. Pétrie de volonté, mais ayant d’importants soucis de santé, Sœur Elisabeth se voit contrainte, le cœur lourd, d’abandonner ses nombreuses actions et de rejoindre la maison de retraite de Montolieu. Annie Espanol au nom de tous, rendait hommage ce jour là à son dévouement auprès des malades hospitalisés, de nos ainés du Nid Trébéen, des enfants dans le cadre du soutien scolaire de l’association Trèbes Entraide… Au sein de la communauté des Filles de La Charité, qui résident à la Maison St Etienne, elle laissera un grand vide et de très beaux souvenirs.
24 octobre 2011Commentaires fermés sur Marché Vigneron Contrarié …
Le Marché des Vignerons en parallèle du marché traditionnel a souffert dimanche matin de la triste météo mais aussi de la finale de rugby. Guy Giva et Michel Cano accompagnés des représentants de la municipalité ont malgré tout présenté les 4 vins des lauréats du concours primeur 2011.
22 octobre 2011Commentaires fermés sur Chapeau Bas pour le Cosmo Show
La scène était presque trop petite pour la venue du Cosmo Show, mais la géniale troupe d’amateurs a su s’adapter et offrir 2h d’un spectacle rythmé et enjoué. La diversité des chorégraphies révélait l’énorme travail qui a été fourni en amont et la prestation musicale des intervenants entre deux tableaux était très plaisante. Le public contaminé par la bonne humeur des membres du Cosmo Show s’est volontiers prêté au jeu pour le final de cette soirée très réussie. Excellente idée de l’association Trèbes Matou, tant pis pour ceux qui ne se sont pas déplacés…
20 octobre 2011Commentaires fermés sur Nos Modélistes Trébéens qualifiés pour les Championnats du Monde
Trois Trébéens, vivent leur passion du modélisme/motonautisme, discrètement presque confidentiellement et ils portent pourtant haut les couleurs du club Carcassonnais auquel ils se sont rattachés depuis quelques années. Jean Luc Molina, Frédéric Ventresque, et Didier Vives consacrent de longues heures de patience à la préparation de leurs bateaux référencés FSRV et dont les puissances entrent dans les catégories 7,5cc, 15cc, 27cc et 35cc. Ces petits « bolides » nautiques fonctionnent au méthanol, nitrométhane et huile de ricin (pour les 7,5cc et 15cc), et essences pour les plus puissants 27cc et 35cc. Ils n’ont que l’apparence du jouet, tant ces délicats moteurs nécessitent un entretien régulier et des réglages de grande précision.
Récemment près de Lyon, Frédéric et Jean Luc se sont illustrés lors de la coupe de France parmi une centaine de concurrents avec leurs 27cc. Frédéric décrochait la 1ère marche du podium avec à ses cotés Jean Luc sur la 2ème.
Précédemment à Bordeaux au cours du Championnat de France, Jean Luc était sacré champion dans la catégorie reine qu’est le 15cc, et Frédéric se classait 2ème en 27cc. Des résultats qui leur ouvrent les portes des championnats du monde qui auront lieu en 2012 en Allemagne.
Didier Vives concourt avec son 35cc une catégorie, plus puissante, plus « lourde », plus onéreuse qui compte moins d’adeptes, donc donne lieu à moins de compétitions. Il n’empêche que Didier se qualifie pour les championnats du monde qui se déroulent tous les deux ans dans cette catégorie.
Dimanche au lac de Cavayère, nos Trébéens contribuaient au sein du club carcassonnais à l’organisation d’une manche du Trophée de France. Nous leur avons rendu visite, en voici les images associées à quelques photos de leurs précédentes compétitions.
17 octobre 2011Commentaires fermés sur Le projet de Réhabilitation du Vieux Village
C’est un diagnostic et un projet considérable qu’a présenté l’architecte Alain Vernet auquel avait été confiée cette lourde tâche. Nombre de Trébéens étaient présents et ont été séduits par cette présentation.
Parmi les principaux aspects développés, le bâti appartenant à la commune sera restauré avec des garages, tenant compte ainsi des difficultés de stationnement. Les rues et espaces publics seront réaménagés et le goudron laissera place aux pavés. Tout ceci représente un coût très important pour lequel les financements devront être obtenus. La réalisation représentera des travaux sur plusieurs années.
Voici les trois dossiers qui ont été présentés, même s’ils ne sont pas évidents à déchiffrer, ils donnent tout de même une idée des aménagements prévus. Les photos d’exemples d’autres villes permettent d’imaginer ce que sera le vieux village dans quelques années. Les fichiers sont conséquents, ils peuvent nécessiter quelques secondes pour s’afficher
16 octobre 2011Commentaires fermés sur Classe et chaleureux, le Grill du Moulin ouvre ses portes
Au Moulin de Trèbes, le restaurant de Catherine et Pierre Vivancos, à la belle saison on pouvait déjà prendre place dans l’un des espaces existants: La terrasse avec vue sur les écluses, la salle à l’esprit bistrot, l’annexe et son ambiance lounge gérée par Quentin. Depuis vendredi, un tout nouveau cadre et une nouvelle carte pour laquelle la grillade est reine, est suggérée à la clientèle le soir.
Cette salle jusqu’à maintenant inexploitée est devenu « Le grill du Moulin » une pièce très chaleureuse où le couple a judicieusement su harmoniser les murs anciens à des touches de décoration très contemporaines. Le tout est du plus bel effet et confère au lieu une atmosphère à la fois classe et cocooning. La cheminée où Alain surveille la cuisson des viandes et poissons contribue grandement au climat agréable dont nous pourrons profiter désormais et durant la saison hivernale.
Jusqu’à fin octobre, l’on peut déjeuner en terrasse le midi quand la météo le permet et diner le soir « Au Grill du Moulin ». Vincent au service et Guillaume chargé des entrées et desserts seront à vos petits soins.
Consultez la carte sur leur page et regardez les photos … vous allez vous en lécher les babines.
9 octobre 2011Commentaires fermés sur Chapeau Bas pour Les Interprètes de la Soirée Cabaret !
Les absents avaient grandement tort, tant la soirée proposée par le Variéty Gospel était variée et surprenante de qualité. Certains des intervenants de ce soir là seront à nouveau présents sur Trèbes le 22 octobre salle des Congrès pour la soirée proposée par Trèbes Matou ( nous vous communiquerons très bientôt les détails alléchants du programme) alors … allez vous les manquer deux fois ???
8 octobre 2011Commentaires fermés sur Braquage au Tabac Presse de Carmen et Raymond Luz
Nous étions sur les lieux samedi soir , dimanche nous avons recueilli l’émotion de Carmen Luz encore sous le choc de ce quelle avait subi lors de ce braquage.
Une nouvelle fois des commerçants trébéens sont victimes d’individus sans scrupule , nous tenons à leur exprimer notre soutien.
Voici l’article de Midi Libre auquel nous avons contribué.
La semaine suivante …
les auteurs du braquage dont a été victime Carmen Luz le samedi 8 octobre ont été interpellés par les gendarmes et jugés aujourd’hui lundi en comparution immédiate.
L’un d’eux B. Hamzaoui qui avait déjà de nombreuses condamnations à son palmarès fera 4 ans de prison ferme. Il n’a pas été possible de prouver la culpabilité de son complice qui a été relaxé.
8 octobre 2011Commentaires fermés sur Vide Grenier de la Confrérie des Capucins
C’est une météo bien éloignée du beau temps qui avait accompagné le week-end précédent, mais en plus logique adéquation avec un mois d’octobre qui a quelque peu contrarié le vide grenier de La Confrérie des Capucins. Un vent violent a découragé un grand nombre des exposants, qui avaient réservé leur emplacement. Mais qu’à cela ne tienne, les Capucins ont tout mis en œuvre pour accueillir au mieux les courageux sur leur espace buvette et restauration.
5 octobre 2011Commentaires fermés sur Madison: neuf ans à peine et déjà jeune conductrice …
La formule surprend mais c’est pourtant le terme employé dans le monde du sport canin pour désigner les enfants qui concourent en agility. Madison Pélix un adorable bout de choux participera à la fin du mois aux championnats de France des jeunes conducteurs près de Lyon.
C’est en assistant à une démo du club de sports canins à Lézignan en 2009 que la famille Pélix découvre l’association trébéenne , ses activités et en devient membre tout d’abord dans le cadre de l’éducation pour leur chien Tina un croisé border/griffon.
Ils sont très attirés par l’agility dont le principe est un parcours composé de divers éléments matériels pour lequel le maitre guide son chien en respectant les étapes imposées. Les premières tentatives d’une équipe Madison /Tina s’avèreront difficiles et c’est finalement le papa Fabrice qui évoluera avec le chien.
Martine Catrin, éducatrice au club propose alors à la petite Madison de lui confier son cavalier-king-charles nommé Dawson pour persévérer dans cette discipline. Ainsi 8 mois après son entrée au club la petite fille vivra son premier vrai concours. Les résultats ne seront pas concluants : la forte personnalité de Dawson n’acceptant pas les directives de sa jeune conductrice. Mais Martine décèle chez Madison une excellente intuitivité et perçoit son découragement, alors lors d’un concours elle lui suggère une tentative avec Clippou le père de Dawson, celui-ci ayant déjà enregistré de bons résultats avec l’éducatrice.
Bingo ! le duo fonctionne à merveille et leur complicité leur permet de bons classements pour les concours qui suivent. Très vite les entraineurs du club les estiment prêts pour concourir en 2ème degré. Ainsi avec Clippou (de son nom complet : Clipperton Sun de Jereylle), elle participe en juin 2010 à la finale du grand prix de France d’agility et à l’automne 2010 aux championnats de France des Jeunes Conducteurs à Brive et enchainera par la suite les concours avec de très bons résultats. Depuis chez les Pélix, en parfaite osmose, vie de famille rime avec vie du club et les chiens sont au centre de leur quotidien.
Plus récemment en juillet 2011 Madison se qualifie pour le Grand Prix de France où elle concourait en poussin catégorie A ( la catégorie est déterminée par la hauteur du chien au garrot). Pour l’anecdote Martine nous raconte que Madison ce jour là a vu s’effondrer ses chances de podium, parce que Clippou en milieu de parcours, leur fait perdre 20 précieux centièmes de seconde en prenant le temps de stopper pour se gratter l’oreille : « Je l‘aurai fait empailler » ajoute en riant Martine tant elle était désappointée.
Concours et bons pointages ouvrent cette année encore les portes du Championnat de France des Jeunes Conducteurs à la jolie petite Madison. Clippou prend grand plaisir à retrouver 1 fois par semaine sa petite complice pour les entrainements et le manifeste grandement à chaque rencontre. La petite demoiselle est confiante pour ce grand rendez-vous d’octobre même si elle appréhende les petits aléas qui peuvent compromettre les résultats « il peut parfois aller voir le public en plein parcours » nous dit-elle. Nous leur souhaitons bonne chance et …. Pas de grattage d’oreille !!!
En parallèle de ses compétitions avec Clippou, Madison « travaille » aussi avec Furio un border collie de 17 mois que la famille Pélix a adopté quand il avait 8 mois.
Au club une autre jeune fille s’avère prometteuse dans cette discipline, il s’agit de Léa Martinez que nous vous présenterons prochainement …
2 octobre 2011Commentaires fermés sur Vide Grenier de l’Aqua Club
Tous les ingrédients pour une totale réussite étaient réunis pour le vide grenier de l’Aqua Club : un superbe soleil, de nombreux exposants, bonne humeur à la buvette et au point restauration… Les jeunes nageurs avaient leur stand et la recette était destinée à financer une prochaine sortie. Au cours de cette sympathique journée la jeune Cloé a fêté ses 12 ans entourée de ses amis et de sa famille. Encore un moment qui reflète la convivialité qui règne au sein du club.
2 octobre 2011Commentaires fermés sur Dans la Cave du Domaine de La Roque
La vendange 2011 s’achève et pour boucler ce tour d’horizon en terre trébéenne (nos reportages sur la coopérative, la distillerie, les « colles » nous avons rendu visite à Jean Sentenac dans sa cave particulière. Il y élabore le vin du Domaine de Laroque avec passion et grande attention. La récolte est rentrée et il veille sur les cuves dont les températures sont si déterminantes dans les premières étapes de la vinification. Dans cette cave, qui n’a rien à envier aux grandes coopératives, une pièce est réservée au petit chai qui abrite 8 futs de bois de 120 litres. ils accueillent pour un vieillissement qui ira jusqu’à 18 mois le vin l’on retrouvera plus tard dans une gamme de bouteilles de qualité. Nous nous sommes aussi intéressés à la Carthagène, ce jus de raisin de grenache gris que notre vigneron mute à l’alcool. Cet ajout dont la proportion ne nous sera pas divulguée, ralentit la fermentation dite « à bas bruit » . La petite cuve subit un « batonnage » une fois par semaine afin de faire remonter les lies puis sera « oubliée » pour n’être décantée que bien plus tard. Ces vins que Jean Sentenac élabore avec minutie, vous pouvez les déguster au Vignes de Bacchus sur les berges du Canal où Pierre et Sabrina sauront vous conseiller. Pour en savoir plus sur le Domaine de La Roque visitez leur site cliquez ICI et les Vignes de Bacchus cliquez ICI
29 septembre 2011Commentaires fermés sur Jean Philippe Verm exporte la French Touch
Septembre 2011Sacrée aventure que celle que vit Jean Philippe Verm en terre brésilienne, et l’étape qu’il se prépare à franchir début octobre sera explosive …
C’est sans nul doute sa rencontre à Narbonne en 2004 avec Junia une jeune brésilienne qui sera déterminante pour la suite des évènements. Elle devient son épouse et lors d’un voyage en 2005 sur sa terre natale, c’est pour Jean Philippe un deuxième coup de foudre cette fois pour le pays. Là-bas, il devient alors propriétaire terrien en faisant l’acquisition de 250 hectares d’une plantation d’arbres de bois exotique destinés à la fabrication de meubles (le teck). A cette époque là, il ne passe qu’un mois par an sur les lieux. Ici en France, c’est dans le monde de la nuit et de la musique qu’il exerce et on le trouve à la direction de plusieurs établissements bien connus du carcassonnais : La Peña, le Chupito ( sous le Black Botton) et le Concept. En 2009, de plus en plus séduit par l’esprit brasileiro, il acquiert une discothèque le New Belvédère à Varzéa Da Palma. Cela marche du feu de dieu, alors pourquoi ne pas surfer plus encore sur la vague du succès que rencontrent les DJ’s français de l’autre coté de l’Atlantique. Un projet dingue se dessine alors, il crée pour cela une société d’évènementiel « C4 Promoções » en référence à l’explosif et à l’état d’esprit qu’il veut donner à ses réalisations.
Le colossal projet qu’il a patiemment concocté est fin prêt et il était ce mois de septembre durant quelques jours à Trèbes pour caler les derniers détails avec les 5 intervenants français qu’il embarque cette énorme aventure brésilienne : Une discothèque géante et itinérante ( A Taj Mahal) , 1 an de tournée, 51 dates, 5 DJ’s français … Plus précisément c’est dans l’état Minas Gerais ( d’une superficie plus étendue que la France) et dans les 51 plus grandes villes dont la plus importante Belo Horizonte que Jean Philippe exporte d’oct 2011 à oct 2012 la French Touch ( voire Languedocienne Touch ) . En effet les DJ’s qu’il connait de longue date et auxquels il a proposé ce pari : Jérome C, Marc Perry, Driss, Lalou Lopez, Tonio ont des origines bien de chez nous, et même très locale pour certains comme Lalou Lopez qui est trébéen.
L’équipe assurera donc une longue tournée dans cette discothèque démontable qui peut accueillir 5000 personnes.
Nul doute que Jean Philippe trouvera tout de même, le temps de faire de courtes pauses, pour venir rejoindre son épouse Junia et leurs deux enfants (scolarisés ici) et saluer ses amis trébéens. Nous comptons sur lui pour nous transmettre des images de ce phénoménal évènement…
28 septembre 2011Commentaires fermés sur Une Matinée de Chasse
Le jour ne s’était pas encore levé lorsque nous avons rejoint Gilbert Ramon pour l’accompagner lors d’une matinée de « chasse au poste », qui est autorisée depuis le 17 septembre. En fait, posés après le pont de la Rode, avec vue sur Bouilhonnac, nous n’avons pas vraiment vu ces tourterelles qui ont quasiment terminé leur migration vers le sud, mais nous avons appris énormément sur la chasse, les chasseurs, leur connaissance et leur respect de la nature.
Comme son nom l’indique la « chasse au poste », impose de s’installer sur un lieu choisi et d’y attendre l’éventuel passage des oiseaux. Le choix de l’endroit tient compte de divers paramètres : du vent par exemple, sachant que s’il vient de la mer les oiseaux volent plus haut et s’il « fait cers » c’est du coté d’Orbiel qu’il vaut mieux se positionner. Si le chasseur est capable de reconnaitre les volatiles à leur forme mais également à leur vol, l’oiseau sait aussi repérer la silhouette humaine et la fuir. Le chasseur doit porter des couleurs qui se fondent dans la nature et peut cacher son visage et ses mains : camouflage + immobilité peuvent donner l’occasion de voir la tourterelle pratiquement le frôler. L’expérience existe donc de part et d’autre et le gibier est malin : si les jeunes animaux n’ont pas encore la connaissance des plus vieux, le savoir se transmet aussi chez le gibier. La chasse c’est avant tout le plaisir de la nature et si l’homme ramène une dizaine de pièces à la meilleure période de la migration, ce sont des milliers d’oiseaux qui passent et il n’y a pas des milliers de chasseurs sur leur passage. Même si de longues heures de patience ne sont pas toujours récompensées la sortie du chasseur n’est pas vaine et il en profite pour faire un état des lieux de la nature …
Il faut savoir que les chasseurs contribuent par divers dispositifs au développement des espèces qu’ils chassent afin de toujours respecter un équilibre. Sur Trèbes 10% du territoire n’est pas chassé, constituant ainsi pour le gibier des zones de protection. Pour les oiseaux, entre 30 et 40 égrenoirs sont disposés ici et là dans la nature. Ce sont des cylindres (suffisamment solides pour résister aux sangliers) pourvus d’une petite fente où le volatile viendra se nourrir. Le «toit » de tôle permet de recueillir l’eau de pluie dont il s’abreuvera. A la période des naissances, l’oiseau s’alimente ainsi plus facilement et peut rejoindre rapidement son nid et protéger ses œufs qui seuls peuvent être la proie de prédateurs comme la buse par exemple. Avec un sac de blé dans la voiture, des chasseurs s’assurent lors de leurs sorties que la quantité est suffisante. Autre action en faveur du développement du gibier : le débroussaillage, outre le fait qu’il facilite les déplacements du gibier, il favorise aussi les jeunes pousses de végétation dont il se nourrit.
Du côté de Béragne Dame tourterelle ne daignant pas se montrer, c’est vers Béragne que nous avons pu en apprendre plus encore. L’observation permet de repérer la présence d’animaux notamment à travers leurs excréments ou traces de pas. Nous avons pu voir des crottes rondes de lapin femelle (celles du male étant plus allongées), celles d’un renard, ou encore des traces de pattes de sanglier. Le gibier est vraiment rusé et nous l’avons constaté avec des groupes de perdreaux qui poursuivaient leur petit bonhomme de chemin au sol tant que nous restions dans la voiture, mais qui prenaient la fuite dès que nous sortions pour tenter de les photographier. Un constat qui prouve bien que pour le chasseur il n’est pas si facile que cela de les approcher. La saison de la chasse qui couvre d’août (sanglier) à fin janvier va se poursuivre avec des dates d’ouvertures spécifiques pour chaque gibier comme le 9 octobre : dans les vignes, le lièvre, la perdrix, le faisan, le lapin. Les dictons des anciens confirment que la chasse est une réelle tradition avec une grande proximité avec la nature, ils vous diront : à la saint Michel l’appeau est dans le ciel (29 septembre) A la saint Luc lou grand truc (18 octobre) et ce truc c’est le passage en grand nombre des palombes…
22 septembre 2011Commentaires fermés sur La Distillerie Vue de l’Intérieur
Si les travaux pour l’élaboration du vin à la cave coopérative, ne sont pas une mince affaire, ceux de la distillerie sont peut-être plus complexes encore… nous nous sommes penchés sur les nombreuses étapes de traitement du marc pour vous faire partager ce reportage.
Dans le contexte actuel … Si par le passé une distillerie produisait essentiellement de l’alcool, il faut savoir que depuis 2008 et la réforme de l’OCM qui a supprimé notamment les aides aux adhérents l’existence et le maintien des distilleries-coopératives ont été remis en question. Les cours mondiaux des alcools ayant subis une importante baisse, les diversifications sont devenues vitales. Ainsi cette année dans la distillerie trébéenne les anthocyanes (colorants alimentaires) représentent 80% de la production totale et assure la diversification de la société.
Jacques Delpech confirme l’estimation que nous avait confiée Alain Taqui ( Cave coopérative) d’une récolte prometteuse, volume et degré, et les cours de l’alcool et des anthocyanes semblent marquer une hausse. La distillerie devrait pouvoir enregistrer des chiffres plus élevés : 3000 tonnes de marcs et 5000 hectolitres de lies qui produiront environ 2000 hectolitres d’alcool pur , la piquette anthocianiques devrait atteindre de 8 à 10000 hectolitres.
A la distillerie de Trèbes … Depuis de longues années Jacques Delpech en est le directeur et assure le bon fonctionnement de la structure. Il est secondé par Christophe son fils, et chaque année à la fin de l’été, il s’agit pleinement d’une histoire de famille puisque Marcy son épouse entre en jeu et prend en charge les pesées et les analyses au laboratoire. Fin aout, avec rentrée des blancs, comme pour la coopérative l’activité s’est mise en route puis il a fallu attendre la maturité des rouges pour que l’on passe à la pleine activité.
La distillerie fonctionne à plein régime depuis maintenant une dizaine de jours et le ballet des remorques pleines de marc rythme le quotidien de la famille Delpech qui s’adjoint pour cette période les services de trois saisonniers.
Nous avons suivi le processus de traitement du marc de raisin ponctué de nombreuses analyses.
La toute première étape dès l’arrivée d’un chargement de marc est la pesée sur la bascule qui se situe à l’entrée, mais le poids net du contenu ne sera déterminé que plus tard lors du pesage du camion ou de la benne vide. Marcy prélève alors environ 200g du marc qu’elle analyse dans le labo. Dans un « Malivix » doté d’une petite chaudière, la vapeur traverse le marc et devient une vapeur alcoolique qui est ensuite rendue à l’état liquide par une étape de refroidissement. Au bout d’une dizaine de minutes, de cet échantillon, en tenant compte de deux mesures, le degré de température et le degré d’alcool obtenu par l’alcoomètre, Marcy peut par une grille de lecture déterminer la quantité d’alcool du chargement. Il est à noter que cette année la récolte marque un taux de sucre important.
La benne peut alors être dirigée vers la batterie de diffusion et déversée dans l’une des 16 cuves pouvant accueillir chacune 25 tonnes de marc. Le choix de la cuve sera déterminé par l’intensité de colorant.
Le marc de raisins rouges comme les cépages merlot, cabernet sauvignon … donne lieu à des opérations plus complexes sur un principe de circuit hélicoïdal. Dans une première cuve, au marc sont ajoutés de l’eau et du gaz SO2 qui arrête la fermentation (transformation du sucre en alcool) et à travers un brassage permettent l’extraction de la couleur et de l’alcool. Le liquide chargé de ces deux éléments est pompé pour être ajouté dans une seconde cuve à du marc encore non traité. Et ainsi de suite … avec jusqu’à une dizaine d’analyses ( par cuve) jusqu’à l’obtention de l’intensité de colorant voulu. Le liquide est alors transféré dans des cuves en inox en attendant son transport vers des établissements spécialisés (notamment à Limoux) qui dissocieront le colorant de l’alcool et traiteront les anthocyanes à façon pour diverses utilisations.
Le marc de raisin blanc subit lui, un traitement simplifié puisqu’il ne fournira pas de colorant, et que seule l’obtention de l’alcool est l’objectif. Il produit environ 2000 hectolitres de piquette dont une sélection est destinée au « Marc du Languedoc ». Il passe lui aussi de cuve en cuve par le circuit hélicoïdal jusqu’à ce que les analyses indiquent « zéro degré d’alcool ». La piquette est stockée dans des cuves afin de finir la fermentation et sera distillée plus tard pour donner l’alcool pur.
Après ces opérations, il ne reste donc dans la cuverie de diffusion que le marc sec et désalcoolisé. Les hommes actionnent alors la griffe et déposent le marc sur le tapis roulant qui l’entrepose sur l’aire de marc désalcoolisé.
Il n’en est pas fini de la chaine d’exploitation de la grappe de raisin, puisque ce marc constitue un excellent engrais naturel. Il est réservé aux adhérents qui le répandront plus tard dans leurs vignes en apport organique non négligeable. Cette demande de plus en plus importante des adhérents leur permet d’optimiser le transport puisque qu’ils peuvent apporter le marc frais et repartir avec le « marc-engrais ».
Voila le quotidien de l’efficace équipe de la distillerie en cette pleine période de vendange.
21 septembre 2011Commentaires fermés sur Commerçants: la volonté de s’unir
S’unir, se serrer les coudes, avancer ensemble … tel est le leitmotiv qui réunissait 25 commerçants et artisans lundi soir à l’OMSL. A l’initiative d’une poignée d’entre eux, 200 invitations avaient été lancées à tous ceux inscrits dans les chambres consulaires et dont les entreprises sont domiciliées sur la ville. C’est dans une totale indépendance que la volonté de s’unir se dessine, loin de toute dépendance politique ou autre.
Pas de chaises alignées, mais plutôt un cercle qui symbolisait ce soir là le « tous ensemble ». Bruno Soldé et Philippe Razous ont brièvement présenté les intentions premières de cette main tendue et rapidement avis et idées se sont exprimés. Les professionnels présents reconnaissaient l’intérêt commun de dynamiser la vie commerçante et artisanale, de retenir la clientèle sur la ville, permettre à ceux qui ne n’ont pas de vitrine de se faire connaitre…
A ce stade, rien n’est déterminé, la discussion et la concertation sont largement ouvertes et d’ailleurs le bureau n’est pas encore constitué, mais déjà des pistes d’actions étaient évoquées : diverses animations à thèmes tout au long de l’année, un évènement majeur qui réunirait tous les acteurs économiques de la ville, foire artisanale …
Une dynamique oui, mais pas seulement, une entraide, un échange d’informations , d’expériences, à travers des pôles qui regrouperaient les métiers par activités: de bouches, bâtiment etc… étaient également suggérées des idées de projets comme pourquoi pas sur le thème de l’écologie qui rapprocheraient les intervenants mais aussi valoriseraient l’image des commerçants et artisans trébéens.
Voilà, ils sont quelques uns à s’être jetés à l’eau et ils espèrent que lors de la prochaine réunion programmée le mardi 4 octobre hall de l’OMSL, nombreux seront ceux qui les rejoindront.
19 septembre 2011Commentaires fermés sur Si la Vendange m’était Contée
Septembre 2011Dans les vignes, la récolte se fait en grande majorité avec les moyens mécanisés d’aujourd’hui, mais nous avons pu trouver deux « colles » ( équipe de vendangeurs) qui perpétuent la tradition.
La Colle Alberti D’une part, c’est la famille Alberti que nous avons rejointe. Chaque année, une rangée de vigne est conservée pour être cueillie à la main, à l’ancienne. Ainsi samedi matin, Lorette, son papa Franck, son papi Gilbert et l’ami « Guigue » ont retrouvé les gestes d’antan le temps d’une courte matinée. Cette mini-récolte s’ajoutait dans la cave familiale aux raisins qui donneront la petite cuvée « Sa Nostre » : quelques bouteilles produites simplement et avec passion par Franck et qui seront plus tard dégustées entre amis. Comme au bon vieux temps, la pause déjeuner est sacrée … cette petite collation bucolique avait aussi des saveurs de tradition ! Découvrez ses pages de petit vigneron Cliquez ICI
La Colle Cassignol Nous avons également salué la « Colle Cassignol », une des toutes dernières sur la commune à rentrer la récolte avec des vendangeurs. Sous un soleil de plomb, dans la bonne humeur malgré la pénibilité de la tâche, de souche en souche, les seaux se remplissaient avant d’être vidés dans les hottes des porteurs qui à leur tour emplissaient la benne. Des images que nous ne verrons bientôt plus !
A la Cave Coopérative… l’effervescence est à son paroxysme, et Alain Taqui (1)le président se réjouit d’une récolte qui présente un parfait équilibre en qualité et quantité : une des plus prometteuses de ces 5 dernières années. Les mois précédents sans sécheresse laissent présager d’un potentiel de production qui avoisinera les 50 000 hectos. Le ballet des quelques 80 adhérents de la cave avec leurs chargements de raisins est impeccablement accueilli par l’équipe de la structure qui enchaîne les phases de dépôt sans fausse note.
Nous avons suivi pas à pas les étapes de cette activité pour vous les faire partager et vous faire découvrir les coulisses dans lesquelles le vin que vous dégustez à table est élaboré.
Le dépôt de la récolte est bien organisé et les viticulteurs respectent le calendrier établi en fonction des divers cépages. (2) Lors de leur arrivée à la cave, disciplinés, les viticulteurs manœuvrent sur l’espace devant les quais pour attendre leur tour (3). La jeune mais expérimentée Marianne (4), riche d’un BTS protection des cultures (médecin de la vigne en quelque sorte) et d’une licence droit et gestion en filière viti-vinicole les accueille. Ils ont mentionné sur leur benne ou camion leur n° d’adhérent et précisé le cépage apporté(5). Aux manettes (6)du système qui va permettre de connaitre le degré de la cargaison(7), Marianne actionne le bras mécanique qui prélève un échantillon de jus qui parvient dans l’appareil de mesure sur lequel s’affiche le chiffre(8). Cette étape peut se pratiquer sur un principe non-automatisé lorsque l’apport n’est pas accessible pour le « bras »(9). La jeune femme rejoint ensuite la salle informatisée où elle entre dans l’ordinateur les données recueillies dans la fiche de l’adhérent (10).
Le viticulteur positionne alors son chargement « à cul » prêt à le déverser dans le container de réception à grosse vis sans fin, lorsque Marianne lui en donnera le feu vert (11).
Nous avons noté que le quai N° 1 plus large et facilitant donc les manœuvres, a la préférence de grand nombre d’adhérents .
Le déversement terminé, le poids s’affiche sur le terminal et un double document résumant les données est édité : une partie pour le viticulteur, l’autre qui parviendra sur le bureau de Chantal qui gère la partie administrative de la cave(12).
La grosse vis sans fin (13) conduit le raisin dans l’égrappoir (14), où le mécanisme sépare le grain de la rafle. Le grain parcourt tout un dédale de tuyaux qui le conduit au fond de la cave dans les énormes pressoirs. La rafle est quant à elle évacuée dans une benne positionnée entre les deux quais au moyen d’un tapis roulant cranté(15).
Marianne peut passer au suivant … ou profite des temps morts pour araser les monticules de rafles qui s’amoncellent(16).
Aux quais, on peut mesurer à quel point la vendange unit les générations, ainsi on a pu croiser la petite Emma (17) qui a ramassé quelques raisins dans la vigne juste pour le « fun », et à laquelle son papa explique ce que devient ce raisin. Nous avons aussi vu Mr Vieux (18) qui revit ses années d’activité en regardant la génération suivante à l’œuvre.
Tout au fond de la cave, Paul et Jean Paul (19) surveillent sur des écrans les pressoirs d’où le jus de raisin est extrait avant d’être stocké dans l’une des 130 cuves de la coopérative. Le marc (la peau et les pépins)(20)est déversé dans de grandes bennes qui prendront la direction de la distillerie. Pour Chantal, Marianne, Paul, Jean Paul, Alain, Luc … les tâches s’enchaînent sans répit à longueur de journée et l’équipe soudée fait face au rythme et à tous les impondérables qui peuvent survenir.
De temps à autre, des œnologues de l’IVC Luc Vidal ou Denis Moreau (21) en l’occurrence ce jour-là, viennent déguster et prélever des échantillons qui permettent de surveiller notamment les stades de fermentation.
Lorsque vous dégusterez votre prochain verre de vin, vous aurez peut être une pensée pour nos viticulteurs et pour ces femmes et ses hommes qui œuvrent avec enthousiasme pour élaborer le nectar de Bacchus si cher à notre région.
16 septembre 2011Commentaires fermés sur English Mini School
Cette année encore Béatrice Masson reprend les cours d’English Mini School . Possédant une double nationalité ( Française et Australienne) elle propose un accès à la langue anglaise à la fois original et bénéfique. Avec agrément académique son English Mini School est un concept pédagogique par lequel elle enseigne l’anglais aux enfants ( de la maternelle au CM2) de manière naturelle comme ils ont appris le français.
De façon très ludique , des chants, devinettes, mots croisés etc… sont les appuis de cette forme d’enseignement.
A leur entrée en 6ème , ils possèdent pleinement l’utilisation des verbes être et avoir dans des phrases avec les « je, tu, il, elle » . Par cette méthode au support grammatical très marqué l’enfant apprend sans s’en apercevoir.
Adeline à son entrée en 6ème (elle avait suivi les cours de Béatrice Masson durant ses années de primaire), aimait déjà la langue anglaise. Elle s’était aperçue quelle n’abordait pas l’anglais comme les autres élèves et que l’apprentissage lui en était grandement facilité.
La première passion de Béatrice est les enfants (elle en a d’ailleurs 6) la seconde est indéniablement l’anglais. Elle propose également un soutien de langue anglaise destiné aux enfants de 6ème à la 3ème, persuadée qu’au cas par cas, avec 4 ou 5 cours des difficultés peuvent être résolues.
English Mini School fonctionne à l’OMSL les mardis à 17h15 pour les maternelles ( 4 ans) et CP , 17h45 pour les CE1 et CE2 , 18h35 pour les CM1 et CM2. Vous pouvez joindre Béatrice au 04 68 69 29 90 ou 06 25 03 60 00