La Ville de Trèbes dans l'Aude à la loupe

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Dans une atmosphère très cocooning, enfants, parents n’ont pas perdu une miette des histoires de Christelle!

C’est dans cet état, que les propriétaires ont retrouvé leurs véhicules samedi matin… près de la place du Plô.
Pour la Ford, c’est la 5ème fois qu’elle subit des détériorations, quant à la Golf le (ou les) individu(s) est (sont) reparti(s) avec la batterie. Pour les victimes: le ras le bol, plainte, démarches auprès de l’assurance…

Le moment convivial de la galette était aussi l’occasion pour les membres du club de féliciter Ludo le professeur du club et Laure qui est devenue tout récemment Mme Tédo. Une petite cérémonie en toute intimité a uni pour la vie leur famille autour de leurs bambins Lou et Lucas.

L’association accueillera ses jumeaux en août prochain

Nous n’écrirons plus Comité de jumelage, puisque lors de leur assemblée générale, les membres de cette association ont choisi d’abandonner le terme Comité, qui leur paraissait vieillot, sévère et restrictif et ont opté pour l’appellation Jumelage Franco-Allemand Trèbes/Helsa.
■ Petit résumé de l’année écoulée
La présidente, Marie Biel, exposait, en détail, l’année écoulée avec, pour point d’orgue, leur voyage à Helsa. Elle regrettait la faible représentation de la jeunesse parmi les soixante douze adhérents et disait sa préoccupation de cette situation qui « met en péril l’avenir de notre jumelage. » Françoise Belmonte présentait l’activité interne de l’association avec ses séances de travail préparatoire des rencontres, celles des répétitions de la chorale qui anime les échanges avec les amis allemands. Elle évoquait également les moments conviviaux qui unissent les membres comme les repas, les grillades ou encore la croisière apéritive qui se déroule sur le canal du Midi.

■  Réception des jumeaux sur la commune
Cette année, les jumeaux allemands seront reçus à Trèbes durant la fête occitane, comme le leur a proposé le maire, Eric Ménassi. Ils viendront du 4 au 10 août et les Trébéens leur concocteront un programme passionnant. Ils leur réserveront un accueil « digne de celui que nous recevons à Helsa » comme le précisait Aline Bouba. Une organisation qui repose aussi sur la parfaite gestion, exposée par le trésorier Jean Guy Guerry, qui sous entend une maîtrise de l’anticipation.

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Avec son pistolet 22 long rifle au point, Alexy Arcier s’est, à nouveau, illustré, à Sète, où se déroulait, cette fois, le premier championnat précision 10 mètres inter ligue, Languedoc-Roussillon/Midi-Pyrénées.

Le panel de tireurs performants en était donc amplifié et la concurrence rude. La compétition a été acharnée, puisque le premier et le deuxième terminent avec le même nombre de points (531). Au bénéfice d’une meilleure dernière série (93 contre 91) c’est Alexy qui s’impose sur la première marche du podium.

Sa prochaine compétition, et non la moindre, le conduira à Montluçon, les 2 et 3 février, pour les championnats de France 10 mètres. Les dirigeants de son club, la Carcassonnaise de tir, son père Jean-Pierre, tous l’accompagnent de leur soutien, avec l’espoir qu’il ramène un nouveau trophée, qui s’ajoutera à un palmarès déjà impressionnant.

Une totale implication au sein de l’association  Trèbes Tennis de Table.

Dans la famille de Trèbes tennis de table nous demandons le frère, le père, le grand-père, l’ami et c’est naturellement Jacques Giménez qui illustre toutes ces figures familiales au sein de ce club.

Ce personnage emblématique, qui a aujourd’hui 64 ans, a accompagné l’histoire de cette association depuis d’un quart de siècle puisqu’il avait 14 ans lorsqu’il y est entré comme joueur. Même si ce normalien s’est quelque peu éloigné un temps pour raison d’affectation professionnelle, dès ses 25 ans il intégrait le bureau dans la mission de secrétaire sous la présidence de Jean Sentenac. La complicité avec le président et l’équipe dirigeante s’est spontanément pérennisée lorsque, suite au décès de Jean Sentenac, Jean-Marcel Caminade lui a succédé en 91.

A ses côtés, Jacques contribue au développement de Trèbes TT qui acquiert ses lettres de noblesse, aussi bien en quantitatif qu’en qualitatif : accession en régionale, puis en nationale 3, plus haut niveau jamais atteint par un club audois. Profitant des contrats aidés, la structure a embauché six entraîneurs différents, permettant à ses jeunes d’accéder à une formation spécifique. Des actions avec les écoles vont se mettre en place, puis avec le collège et plus récemment une section Baby-ping.

Un véritable couteau suisse
Au sein du club, Jacques est un véritable couteau suisse : il est une pièce essentielle qui, par sa personnalité diplomate et persuasive, a su tisser des liens cruciaux avec les organismes, les décideurs, les partenaires… Avec lui des dossiers du  secrétariat sont en de bonnes mains. Maître dans l’art de mobiliser les troupes, il a aussi orchestré de nombreuses activités de la vie du club. Mais, ce bénévole au grand cœur, ne rechigne pas à assurer des missions de chauffeur lors des déplacements ou à trimballer tables et chaises pour la logistique d’un événement, entre autres. Après tant d’années de dévouement, Papy Jaco, (comme il aime signer ses emails) aspire à lever le pied, sans abandonner le club. Il vit là sa dernière saison de totale implication.

Trèbes TT, un club qui brille
Outre les parcours des nombreuses équipes du club en national, régional et départemental, de récentes performances sportives s’ajoutent à la longue liste des trophées : Trèbes TT vient de remporter, pour la deuxième année consécutive, la Coupe de l’Aude des clubs. On notera également le classement de Ludivine Delcampe, 12 ans, parmi les 10 meilleurs jeunes joueurs de France en nationale 1 et l’accession prometteuse d’Alice Ivaldi en nationale 2.

Regroupant les votants des communes de
Trèbes Bouilhonnac, Rustiques, Fontiès-d’Aude, Villedubert, Montirat et Berriac

Votants  :   509                                                     Exprimés :  495

Benoît Hamon  : 188

Manuel Valls : 307

Missions accomplies malgré une baisse d’effectif.
Le major Daniel Delpech, commandant de la COB Trèbes/Capendu et le chef d’escadron Stéphane Cario, avaient convié les élus du secteur pour un état des lieux.

Le major qualifiait l’année 2016 de rude et intense, dans le contexte national de risques terroristes et d’ajouts de missions sécuritaires, la COB ayant dû faire face, en terme d’effectif à 8 départs compensés par seulement 5 arrivées. Malgré tout, l’unité obtient d’excellents résultats dont une baisse en matière d’atteintes aux biens, -25 % annoncés par le préfet.

Concernant la délinquance locale, les militaires mettaient hors d’état de nuire trois individus multirécidivistes qui cette fois ont été sévèrement punis. Face à la délinquance itinérante structurée et mobile, c’est l’interactivité entre les services qui a permis des interpellations à l’autre bout de la France ou plus proche comme celle à Béziers des auteurs du cambriolage de la maison de retraite. Il se réjouissait du partenariat avec les communes pour les plans protecteurs liés aux risques terroristes, citant pour l’exemple les moyens mis en place lors de la fête occitane. Il saluait la mobilisation de ses troupes pour pallier le manque d’effectif et la participation active des réservistes à de nombreuses missions.

Le chef d’escadron Stéphane Cario, confirmait le travail fourni et l’atteinte des objectifs dans ce challenge de ressources humaines réduites.

Tout en poursuivant son petit bonhomme de chemin, l’association « Dessin Peinture Amateur » s’est pliée à l’exercice annuel de l’assemblée générale.

Dans l’esprit « en toute simplicité » qui caractérise cette petite famille, la présidente Françoise Pédron, la secrétaire Chantal Buret et la trésorière Monique Dissaux présentaient les détails de l’année écoulée et ses moments forts : l’exposition d’octobre dernier, leur implication pour les activités des TAP, leur sortie culturelle à Castres…

Alors que Francis était, ces dernières années, le seul représentant masculin, ces dames sont ravies de l’arrivée de Serge qui a intégré le groupe avec son épouse Hélène. Avec une réélection globale du bureau, les voilà repartis pour une nouvelle année faite de couleurs et d’amitié.

Parmi les projets : la multiplication de sorties culturelles, des ateliers en plein air, des visites de musées suggérées en covoiturage…

Le bilan 2016 confirmait le succès des temps forts du club

L ’assemblée générale des cyclos trébéens illustrait la dynamique de ces sportifs qui se frottent à une activité que le maire invité qualifiait « d’exigeante ».

Après avoir donné des nouvelles des membres victimes d’accidents ou de soucis de santé, le secrétaire Francis Mourlan évoquait les moments forts et conviviaux de l’année.

Sur le plan sportif, il rendait hommage à Jean Seyssel qui est celui qui, chaque année, réalise le plus de km sur son vélo : « Il roule presque tous les jours en toute saison et comme nous tous, il accuse le poids des ans forcément le kilométrage diminue chaque année, mais tout de même 17 300 km en 2016, pour quelqu’un qui souffre d’un handicap… Voilà qui mérite un grand bravo ».

Aux traditionnelles sorties du dimanche, s’ajoutent des rendez-vous amicaux comme la galette des rois ou le repas au sanglier permis par Jean-Paul Amiel et préparé par Michel Goupil.

Malgré une baisse d’effectif et le renoncement à l’organisation de quelques sorties, constatés par le président Bernard Séverac, le bilan 2016 était malgré tout compensé favorablement par les temps forts du club comme le défi pyrénéen, ou le succès de la bourse aux vélos qui était une première dans l’Aude et qui sera reconduite en 2017.

Hervé Menassi présentait l’édition 2017 de l’événement Trèbes-Le Laouzas qui fait la renommée du club par son envergure et sa parfaite organisation. Il aura lieu cette année les 10 et 11 juin, un changement de date qui n’entame pas l’engouement qu’il suscite, puisque 186 inscrits sont déjà enregistrés.

Le petit monde associatif trébéen se préoccupe de la santé de ses membres et présidents… et nous aussi
Nous souhaitons un prompt rétablissement à …

■ Les membres de l’Amicale des Pieds Noirs  attendent leur président  Jean Claude Lobello qui a affronté de sérieux soucis de santé durant les fêtes et qui récupère actuellement en maison de convalescence.

■Le club de Jeu Lyonnais nous donne des nouvelles de René Vercher, victime samedi soir d’une chute aux lourdes conséquences qui ont nécessité un transport à Toulouse où il a du être opéré.

■Une pensée aussi pour Romain Bardou qui  est passé hier sur la table d’opération pour une intervention des croisés et ménisque. Il devra maintenant en passer par les séances de kiné pour  que le club de Hand retrouve son vice-président en forme.

Dimanche l’EFTB en entente avec l’A.S Puichéric vous invite à la grande affiche des

-16 Med Puichéricoise contre l’Entente Jacou-Muc au COSEC à 14h!
Les filles auront besoin de tout le monde disponible pour aller chercher cette victoire
qui les ferait passer 1ère au classement !!

Nous penserons bien sûr aux jeunes -9 mixtes qui iront jouer Samedi matin à Narbonne pour un nouveau plateau !!

Le week end dernier

😉 Les – 16 filles Méditerranée sont allées chercher la victoire 23 à 29  à Cannes.

Le club de Lézignan sous l’égide de la ligue régionale organisait le Top 12 de la région d’Occitanie. Ludivine Delcampe était sélectionnée et a su tenir son rang dans cette compétition regroupant les meilleurs jeunes de la région dans leur catégorie d’âge. C’est en effet en montant sur le podium à la troisième place qu’elle conclut cette édition 2017 en imitant sa camarade de CRE, Morgane Poursine elle aussi troisième.

Dimanche se tenait à Narbonne la Coupe de l’Aude des clubs, et là encore nos pongistes ont brillé. 168 participants et 26 trébéens s’étaient retrouvés à Narbonne pour relever le défi. Avec deux tableaux remportés, Albert Sanchez en Vétérans et Mathieu Jambert en moins de mille points, celui-ci confirmant encore ses progrès, et toutes les places d’honneur accumulées par nos pongistes qui ont permis à nos joueurs de remporter pour la deuxième année consécutive la Coupe de l’Aude des Clubs. Celle-ci s’ajoute à la longue liste des trophées remportés par le Tennis de Table trébéen. Fêtée comme il se doit au club mercredi elle va trôner en bonne place dans l’armoire à récompenses du club. Un grand merci à tous les participants du TrèbesTT qui ont mis un point d’honneur à défendre les couleurs de leur club. A noter les deux excellentes organisations du week-end, aussi bien à Lézignan pour le Top 12 régionale qu’à Narbonne pour cette coupe de l’aude.

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Avant le rassemblement protocolaires, nos pompiers se sont rendus comme chaque année au cimetière où ils se sont recueilli sur les tombes de leurs camarades disparus Kiki Saïz et Nicolas Munoz.

La cérémonie de la sainte-Barbe réunissait, samedi, les pompiers bénévoles et professionnels du centre de secours trébéens ainsi que les officiels , avec au programme  remises de médailles et galons.

Sur le plastron de Stéphane Bernard, une médaille d’or récompensait 25 ans de services et celle d’argent les 20 ans d’engagement de Sophie Lacombe et Paul Brandao.

La remise de galons élevait Mathieu Bardou au grade de sergent-chef, Pierre Martinez à celui de caporal et Fabien Bureau à celui de 1re classe.

En présence du colonel Henri Benedittini, de la représentante de l’Union départementale, des conseillers départementaux, du maire de Trèbes et de la sénatrice, le lieutenant Philippe Miramond dressait le bilan de l’année écoulée. Il présentait l’effectif qui compte 44 volontaires et trois professionnels, et faisait état d’une hausse de 15 % de l’activité opérationnelle avec 780 interventions (soit 113 de plus) : 451 secours à personne, 47 accidents, 183 incendies, 99 diverses. Il exprimait son estime et sa reconnaissance à ses volontaires sur lesquels repose l’équilibre opérationnel du centre. En filigrane, l’importance du recrutement était ainsi réaffirmée. Il saluait nommément l’ensemble de son personnel pour son implication, tout comme les officiels présents pour leur soutien.

Big Up à …

Jennifer Royer, Matthieu Bardou, Mathieu Sylvestre, Benjamin Allain et Mickaël Baiget étaient mis à l’honneur pour leur intervention auprès de la victime d’un accident de chasse recemment à Bouilhonnac. Par leur professionnalisme ils ont très certainement sauvé la vie à cette personne!

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Les membres étaient réunis en assemblée générale

Suite à la récente démission de cinq membres du conseil d’administration, dont la présidente, c’est la vice-présidente, Gisèle Fuster-Gardella, qui présentait le rapport moral de l’année écoulée. Elle évoquait les activités qui se déclinent dans les sections aqua gym, aqua bike, aqua jogging, aquaphobie, aqua palmes, nage enfants.

Avec à peine un peu plus d’un an d’existence, l’association comptabilisait, en décembre dernier, 207 adhérents. L’activité aqua palmes rencontre un tel vif intérêt, que le bureau s’est vu contraint de refuser des inscriptions dans cette section par manque de place. Le bilan financier exposé par Nadine Solère, présentait un solde positif. Le bureau se réjouissait de pouvoir aborder la nouvelle saison avec sérénité et en parfaite autonomie.

Compte tenu de cette situation positive, elle précisait aux représentants de la municipalité présents qu’aucune demande de subvention ne serait effectuée et exprimait ses remerciements pour les créneaux horaires accordés à la piscine.

■ Nouveau bureau
L’assemblée prenait ensuite connaissance de la composition du nouveau bureau. Présidente, Jacqueline Mourlon-Bardy ; vice-présidente, Gisèle Fuster-Gardella ; trésorière, Nadine Solère, secondée par Michèle Serra ; secrétaire, Monique Dupuit épaulée par Aurélie Arméro

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La rencontre avec un artiste pour incitation à l’écriture

Quatre classes de 3e du collège participent à la 12e édition de ce concept par lequel une rencontre avec un artiste impulse un travail d’expression écrite. Le fruit de ces ateliers sera restitué sur scène le 1er juin prochain au Chai à Capendu où les élèves rejoindront 3 classes du collège de l’Alaric. Cette année, les élèves découvrent l’univers musical du chanteur toulousain Chouf qui écrit des textes en français sur des thèmes actuels et les accompagne de sonorités cuivrées, swing, rock… Cette immersion dans un environnement artistique qui n’est pas forcément le leur, les ouvre à d’autres horizons culturels. L’artiste leur livre les arcanes de sa musique et de son écriture. Si cette rencontre influencera sûrement la créativité des jeunes rédacteurs, ils conserveront le choix des thèmes abordés qu’ils pourront travailler seuls ou à plusieurs.

Ce concept, qui permet aux enseignants un biais original vers l’écriture, ouvre aussi sur le travail de la lecture et de l’expression orale. A Gaston-Bonheur, ce sont les professeurs Gérard Bildan, Florence Mendez et Céline Monnier qui accompagnent les collégiens dans ce défi de création poétique. Initié à la base par Piémont d’Alaric, le projet est piloté cette année par Carcassonne Agglo et soutenu par le conseil départemental.

Le président de l’association trébéenne, Jean Guillet, avait convié le maire, Eric Ménassi, la sénatrice, Gisèle Jourda, le président départemental de la Fnaca, Gérard Fraticola, ainsi que MariePaule Pibouleau, membre du comité national et responsable des veuves, à prendre part à l’assemblée générale des anciens combattants en Algérie qui se tenait à l’OMSL.

Après avoir présenté ses meilleurs vœux à tous, le président invitait l’assemblée à observer une minute de silence en hommage aux cinq membres décédés en 2016. Claude Ménassi faisait adopter le rapport moral. Pierre Engel, à son tour, exposait celui des porte-drapeaux, avec notamment une liste impressionnante de déplacements effectués sur diverses cérémonies. Le président Guillet présentait, lui, le rapport financier.

Marie-Paule Pibouleau quant à elle, présentait pour les adhérents mais aussi pour leurs veuves, les nouvelles formalités pour obtenir l’ASPA (Allocation de Solidarité aux Personnes Âgées) destinée aux personnes ne disposant que de faibles revenus. Le maire redisait son attachement à la Fnaca et la sénatrice leur demandait de ne pas laisser sur le bord de la route tous les anciens combattants.

Regroupant les votants des communes de
Trèbes Bouilhonnac, Rustiques, Fontiès-d’Aude, Villedubert, Montirat et Berriac

Votants  :   368                                                      Exprimés :  357

J.-Luc Bennahmias  : 2

François de Rugy  : 5

Benoît Hamon  : 91

Arnaud Montebourg : 38

Vincent Peillon : 20

Sylvia Pinel : 11

Manuel Valls : 190

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Le journaliste Laurent Coste, la photographe Nathalie Amen Vals, tous deux de l’Indépendant ont couvert de A à Z l’exercice inondation qui a eu lieu récemment au collège
😉 et nous , nous les avons suivis pour vous !

Voici ci dessous le rédactionnel de Laurent Coste 

SÉCURITÉ. Branle-bas de combat hier matin au collège Gaston-Bonheur de Trèbes. Comme dans 96 établissements du Languedoc-Roussillon, l’alarme a retenti à 10 h 39. Cet exercice avait pour objectif de tester les procédures.

Gros épisodes cévenols hier sur le Languedoc-Roussillon. Même Trèbes a été frappée par des pluies diluviennes. Au point qu’une alerte météo a été lancée. Cet établissement scolaire a dû activer dans la matinée son plan particulier de mise en sûreté (PPMS). Bien sûr, il ne s’agissait que d’un exercice. Cette opération était organisée par l‘académie de Montpellier dans 96 établissements, dont 11 dans l’Aude. Ce n’est que la veille que quelques instructions et directives ont été laissées aux chefs d’établissement pour cet exercice baptisé « Aiguat ».

■ Dix minutes pour compter élèves et adultes
A 9 h, hier, première réunion de crise avec le principal Dominique Ejarque, son adjoint François Guegaden ainsi que des responsables de la vie scolaire, de l’accueil… 9 h 35, premier coup de fil de la direction académique : les élèves et les adultes présents dans l’établissement doivent être comptabilisés. Le principal part arpenter toutes les salles pour compter les majeurs. « C’est juste une vérification », précise-t-il en ouvrant chaque porte. Son adjoint est, quant à lui, allé chercher le nombre des élèves présents, remonté informatiquement. « Nous ne disposons que de dix minutes », prévient le chef d’établissement. Dehors, le niveau de l’eau monte (fictivement). Le principal s’inquiète. L’alerte tarde à être lancée selon lui. Et il prend l’initiative de faire retentir l’alarme pour que tous les occupants de l’établissement se mettent à l‘abri. 10 h 39 : la sirène retentit. Ce n’est pas le bon signal mais les professeurs et les élèves comprennent l’alerte.

■ Confinés dans les étages En moins de trois minutes, tout le monde a gagné les étages alors que le SMS d’alerte des autorités arrive enfin. Les salles ont été confinées : fenêtres et volets ont été fermés. Les téléphones portables ont été éteints. Les parents ont, quant à eux, été avertis par SMS : il leur est interdit de venir récupérer leurs enfants pour des raisons de sécurité. Dans la salle des professeurs, une radio (sur pile car l’électricité ne fonctionne plus) permet d’écouter les informations et instructions. Vers 11 h 30, fin de l’alerte. Les élèves peuvent regagner leurs classes. La période de confinement a été mise à profit par les enseignants pour rappeler aux élèves comment se mettre en sécurité en cas d’inondation. En début d’après-midi, une réunion était prévue dans cet établissement pour un débriefing  afin de pointer les manquements. Le problème de la sirène devait être un des premiers points évoqués pour éviter que cet incident ne se reproduise le jour d’une vraie alerte.

Quelques règles à suivre

 ● Les téléphones portables éteints. Confinés, les élèves ont été invités à éteindre leurs téléphones portables, comme cela doit d’ailleurs être le cas pendant les cours. Cette règle a pour objectif de ne pas encombrer les réseaux de communication, réservés alors aux secours, précise Yves Tarbouriech, coordinateur académique pour les risques majeurs au rectorat. Autre volonté : la maîtrise du circuit de l’information afin d’éviter la circulation de fausses rumeurs (et donc le risque de crise de panique) sur les réseaux sociaux.

● L’accès au collège interdit. Dès le déclenchement de l’alerte, l’accès au collège de Trèbes (comme dans les autres établissements qui ont enclenché un plan particulier de mise en sécurité) est interdit. Les parents sont d’ailleurs informés par SMS de cette procédure. « Nous voulons ainsi éviter de mettre des parents en danger sur la route », explique Yves Tarbouriech, rappelant que de tels drames sont déjà arrivés dans la région de Marseille pendant une alerte inondation. « Les enfants sont mis en sécurité pendant toute l’alerte », assure Yves Tarbouriech. Cette interdiction a aussi pour objectif de faciliter l’accès des secours dans l’établissement concerné.

● Cellules de crise. Des cellules de crise avaient été activées au sein du rectorat et de la direction académique ainsi que le centre opérationnel départemental en préfecture

 « Inculquer une culture de prévention »

L’organisation d’un tel exercice au collège de Trèbes a surpris au sein du personnel. Cet établissement ne se trouve pas en zone inondable. Pour autant, un tel exercice sur ce site était pertinent selon la direction et le rectorat. Cette opération avait pour premier objectif « d’inculquer une culture de prévention », aux élèves et au personnel, insiste Dominique Ejarque, le principal. Ces gestes pourront en effet être reproduits par les collégiens ou enseignants s’ils gagnent un autre établissement, en zone inondable, dans les prochaines années. Mais aussi à leur domicile, car les principes de mise en sécurité sont les mêmes en cas de risque d’inondation : gagner les étages ou le toit, confiner la pièce…

■ Trois exercices
L’organisation d’un tel exercice a aussi permis de repérer quelques failles ; lesquelles pourront être réparées pour le traitement d’autres risques : inondations, sismiques, intrusions… Pendant cette année scolaire, Gaston-Bonheur avait déjà organisé un premier exercice incendie. Bientôt, une simulation d’intrusion sera programmée. Comme chaque établissement de l’académie, le collège de Trèbes a l’obligation d’organiser trois exercices par an. Hier matin, la rapidité de l’évacuation des élèves a démontré l’intérêt de la multiplication de ce type d’exercices. « Inculquer une culture de prévention »

 Éléments perturbateurs Pour « perturber » l’exercice, les organisateurs avaient prévu quelques imprévus qui peuvent arriver lors d’une véritable alerte. Pour le coup, il s’agissait du coup de fil d’une équipe de BFM TV qui voulait gagner l’établissement pour un reportage alors que ce collège se trouvait cerné par les eaux. Le principal a invité ce journaliste (fictif) à rappeler après la fin de l’alerte pour faire le point.

Le projet « Aiguat »

Le projet « Aiguat » a été lancé suite au souhait du ministère de l’Écologie de sensibiliser les populations de l’Arc méditerranéen sur les risques cévenols. Ce projet s’étale sur deux ans. « Nous sommes à mi-parcours », souligne Yves Tarbouriech, coordinateur académique pour les risques majeurs au rectorat. Au-delà de l’organisation d’un exercice comme celui d’hier, le projet « Aiguat » prévoit une campagne de sensibilisation à la prévention des risques liés aux épisodes pluvio-orageux auprès notamment des élèves de 5e. Tous les collèges ont été sollicités pour cet exercice selon Yves Tarbouriech, mais la participation était basée sur le volontariat. « Dans une seconde phase, nous serons plus persuasifs pour que l’ensemble des établissements participe », prévient le coordinateur du rectorat  et exercice était initialement prévu le 13 octobre dernier mais en raison d’une réelle alerte météo, il avait été reporté pour ne pas créer de confusion entre exercices et mesures prises par les préfectures.

Christelle vous invite à la retrouver pour une soirée jeux/crêpes à la médiathèque où elle vous fera découvrir ses dernières nouveautés.

Chacun amène un plat pour garnir le buffet et et elle s’occupe des jeux, pour enfants, familiaux ou experts.

 Des jeux classiques tels que Labyrinthe, Pictionary, Légos mais aussi des originaux et passionnants comme Célestia, Splendor, Mafia de Cuba, Bazar Bizarre… Vous trouverez forcément votre bonheur. 

Chouette soirée en perspective!

Tout public – Renseignements au 04.68.78.51.33

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Régulièrement, nos Rode’Aires posent leurs bâtons de pèlerins pour se retrouver dans l’esprit festif qui les caractérise…
Ces moments sympas et gourmands, comme celui du partage de la galette en ce mois de janvier, sont joyeusement émaillés de sketches, jeux, animations dont ces randonneurs sont si friands.
Cette fois, c’est une soirée « barboteuse » qui les réunissait. Ils avaient rassemblé de très vieilles photos de leur petite enfance et le défi était de reconnaître chacun des membres de l’association.
Dans une ambiance taquine, ces clichés sépia ont inévitablement donné matière à anecdotes et boutades.

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Elles sont huit équipes sur la paroisse Sainte-Trinité en Alaric

La paroisse Sainte-Trinité en Alaric qui regroupe 28 communes des environs de Trèbes a ses équipes du Rosaire. Ces équipes ont été fondées dans les années 50 par un dominicain qui avait la volonté d’en faire un mouvement missionnaire et souhaitait que l’on prie aussi dans les maisons.

En s’appuyant sur les textes d’un petit livret édité à une fréquence mensuelle sur le plan national, des rencontres ont lieu entre les membres d’une même équipe. Chacun invite à son tour et dans cet esprit missionnaire laisse une chaise vide destinée à toute personne qui souhaiterait se joindre au groupe ce jour-là.

La dévotion à Marie caractérise ces paroissiens et paroissiennes qui, régulièrement, se consacrent à la méditation autour de la parole divine. Outre la lecture de ces textes, c’est aussi une invitation à s’exprimer sur ce qu’ils renvoient dans le quotidien qui anime ces rendez-vous.

La paroisse Sainte-Trinité en Alaric regroupe huit de ces équipes qui, chacune, ne peut excéder dix personnes : deux à Trèbes et une dans les villages de Fontiès, Monze, Montlaur, Capendu, Marseillette et Douzens.

Les groupes étaient réunis cet après-midi-là, dans la salle de la Maison Saint-Etienne, autour de Solange Cabriol responsable des équipes de la paroisse. Elles accueillaient à cette occasion Josette Magnères, responsable diocésaine des équipes du Rosaire de l’Aude venue de Port-la-Nouvelle. Dans cette médiation, en cercle élargi cet après-midi-là et ponctuée de chants et prières , les membres étaient accompagnés par l’abbé Henri Kapenga, le prêtre de la paroisse