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Mercredi, aux alentours de 21h , nos pompiers et gendarmes sont intervenus face à la piscine où une voiture était la proie des flammes.
Sur l’origine du sinistre, dont le caractère volontaire semble faire peu de doute, une enquête de gendarmerie est en cours.
Les jardiniers de la Pépinière en ont assez de constater les vols commis sur leurs parcelles situées après le Pont Vauban.
Par deux fois la semaine dernière plusieurs jardins ont été dépouillés de la quasi-totalité de leurs fruits et légumes parvenus à maturité. Outre le fait qu’ils sont ainsi privés du fruit de leur long labeur, ils doivent aussi faire face aux dégradations, de clôtures et autres, perpétrées lors des intrusions.
Des jardiniers ont signalé ces méfaits auprès de la gendarmerie, mais ont aussi pris des mesures dissuasives pour protéger leurs cultures.
En mai dernier, nous vous relations la mobilisation de nos gendarmes et d’éléments du PSIG dans le vieux village pour interpellation d’un homme recherché pour l’exécution d’une peine de prison après décision de justice. L’individu était parvenu à déjouer le dispositif en s’enfuyant par les toits (relire ICI).
Nous terminions notre sujet par : Mais comme pour la Maaf , « ils l’auront un jour, ils l’auront ! »
hé bien voilà c’est fait !!
Jeudi, autre déploiement d’effectif et nos gendarmes ont mis la main sur l’énergumène qui séjourne désormais en prison… et pour 10 mois!
Ne restent que le boîtier et les câbles 
C’est lundi matin, que la disparition de la caméra de vidéosurveillance qui se situait face à la salle Staff à l’Aiguille a été constatée. Les images n’ayant rien révélé de la présence de l’auteur ( ou des auteurs), le méfait pourrait avoir été commis à partir du toit du petit immeuble sur lequel l’appareil était fixé. La municipalité a déposé une plainte auprès de la Gendarmerie.
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Jeudi, peu avant 11h, les pompiers du centre de secours de Trèbes sont intervenus dans le quartier de l’Aiguille, où une voiture était la proie des flammes à l’angle des rues Roussillon et Normandie. Selon les premières informations que nous avons pu recueillir sur place, cet incendie pourrait être d’origine volontaire, sur fond de différend familial. En effet, le propriétaire du véhicule avait déjà eu une première voiture incendiée au début du mois de juillet dernier. Une enquête des gendarmes trébéens est actuellement en cours, afin de faire toute la lumière sur ce nouvel incendie de voiture, avec la même victime.
Hier matin, en rejoignant son véhicule, un habitant du vieux village, a été effaré de constater qu’on lui avait volé capot, phare et clignotant. En y regardant de plus près, il réalisait que le (ou les) malfrat(s) avait(ent) aussi l’intention de lui piquer le radiateur. En effet, les durites avaient été sectionnées et la pièce maîtresse avait été en partie désolidarisée du caisson qui contient le moteur. Des dégâts qui entraînent contrariétés, démarches de plainte, d’assurance… pour ce propriétaire qui habite depuis 6 ans rue de la fontaine et qui d’autre part a été cambriolé deux fois.
Dernièrement, c’est Lucia, notre épicière portugaise de l’avenue Pasteur qui, de bon matin, avait la désagréable surprise de trouver sa serrure de sa boutique démontée et le rideau de fer enfoncé. Dérangés pendant leurs méfaits, empêchés par une trop forte résistance du rideau de fer ? En tout cas les individus n’ont pas pu aller au bout de leur intrusion et Lucia n’a pas eu de vol à déplorer. Mais là aussi, plainte, assurance, réparations et tout le tintouin auquel sont confrontés les victimes.
Enquête en cours après des faits commis dans la nuit de jeudi à vendredi.
C’est à 7h30, vendredi, que Christophe Barthès, secrétaire départemental du Front National de l’Aude et conseiller régional, a été informé que les murs de la permanence départementale de Trèbes avaient été copieusement tagués par des inconnus au cours de la nuit précedente. Un acte qui n’a pas été revendiqué. Pour l’heure, les constatations ont été faites par les gendarmes. L’enquête est en cours.
C’est dans le cadre d’une lutte contre les incivilités et les squats réguliers dénoncés par des propriétaires de Monséjour, que cette résidence située face à la piscine municipale, près de la cité de l’Aiguille, a été investie par les forces de gendarmerie, mardi 23 aoûtà 15 h.
Effectuée sur réquisition du procureur de Carcassonne, cette opération a mobilisé des militaires de la Cob (communauté de brigades) de Trèbes, appuyés par les gendarmes mobiles actuellement détachés à Trèbes, une équipe cynophile de Narbonne et les hommes du peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (Psig) de Carcassonne ainsi que des éléments de la Police Municipale. Une vingtaine de gendarmes au total.
Au cœur de Monséjour, les forces de gendarmerie ont ainsi effectué plusieurs contrôles d’identité et fouillé les parties communes du bâtiment, notamment les caves. Les gendarmes n’ont effectué aucune interpellation lors de cette intervention. En revanche, ils ont découvert des objets de provenance douteuse… qui sont en cours «d’analyse» afin que leur provenance puisse être définie.
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En 2013, nous consacrions un sujet au Paysandisia Archon ce papillon « palmivore » qui s’en prenait aux palmiers d’une Trébéenne cliquez ICI
Hélas cette satanée bestiole sévit toujours et Clément, qui habite rue Lamartine dans le vieux village, peut en témoigner. Aidé de son voisin Jean Pierre, il a tenté une importante taille de son palmier. Mais au fil des heures la découverte des quantités considérables de larves, chenilles et papillons , le constat s’imposait: il était déjà trop tard.
S’ils ont pu détruire toutes les larves et chenilles, les papillons qui tourbillonnaient encore ont sûrement migré vers la prochaine victime. Il existe semble-t-il quelques possibilités de traitement préventif, mais seule une lutte collective permettrait d’enrailler le fléau.
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Deux CCF de notre Centre de Secours étaient sur l’important incendie qui s’est déclaré hier vers 18h près du Domaine de Naucadery sur la route de Laure. Un poste de commandement gérait les nombreux véhicules venus de Laure, Carcassonne, Trèbes, Caunes, Puichéric, Azille et de plus loin Bize, St Nazaire…
A la centaine de pompiers et d’hommes de la sécurité civile sur le terrain, s’ajoutaient 4 Canadairs qui ont effectué plusieurs largages.
Imaginez-vous paisiblement endormi dans votre lit, puis réveillé tout à coup par un individu qui braque le faisceau d’une lampe torche sur votre visage et vous ordonne de lui indiquer où sont vos bijoux et argent… c’est l’horrible expérience qu’ont vécu deux personnes âgées dans leur maison de la rue de Strasbourg.
Mère et fille, de cette famille trébéenne depuis 5 générations, encore terrifiées par cette nuit de cauchemar, revivent en boucle les détails.
Il était aux alentours de 3h du matin dans la nuit de dimanche à lundi: « Ne bouge pas, ne crie pas, où sont tes bijoux, où est ton argent? » avec un fort accent que la plus jeune pense reconnaître comme venant des pays de l’Est. Sans réponse satisfaisante, l’homme a pris son temps pour fouiller l’armoire, la commode, la table de nuit… renouvelant ses ordres « n’allume pas la lumière, ne bouge pas » … sans succès. Il s’est alors dirigé vers la chambre de la maman, à laquelle il a fini par dérober la chaîne, le camée, et la croix qu’elle portait sur elle. Laissant les deux dames ( arrière et arrière-arrière grand-mères) tétanisées par la peur, l’individu, qui était certainement accompagné, a enfin quitté les lieux en emportant tout de même un coffre-meuble (vide) de gros volume qui était au rez-de-chaussée. Même si ce home-jacking s’est déroulé sans violence, c’est un véritable traumatisme qu’ont subi ces deux personnes âgées.
Place du Prioulet
Le retraité que nous avons rencontré place du Prioulet, en est à la 3ème tentative d’intrusion dans sa maison en pleine nuit. Le sommeil léger, il a mis en fuite les malfaiteurs à chaque fois en hurlant « au voleur, au secours ». La première tentative s’est soldée par des traces de pied de biche sur sa porte d’entrée. Quelques temps plus tard, un individu s’est hissé par la façade jusqu’à la fenêtre de sa chambre. Il y a quelques semaines, pour la 3ème fois donc, un fracas, qu’il a tout d’abord cru identifier comme étant le tonnerre, le sort de son sommeil. Là aussi, après avoir réagi en hurlant, il a trouvé sa porte d’entrée cette fois explosée.
Cela fait beaucoup pour ce monsieur qui est venu chez nous pour y vivre une retraite paisible !
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Ce vendredi, un départ de feu dans une pinède entre Trèbes et Rustiques et en direction du Camping la Commanderie tout proche était signalé avant 16h. Un équipage de nos pompiers, renforcé d’une unité CCF venue de Laure ont rapidement circonscrit l’incendie. Au final, 500m² de végétation touchée et un camping épargné !
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Si de nombreuses opérations de Gendarmerie, à la suite de longues investigations bien souvent, aboutissent dans la discrétion, celle de ce mercredi dans le vieux village n’est pas passée inaperçu…
Un homme recherché pour l’exécution d’une peine de prison après décision de justice avait été localisé dans un logement de la petite place, que les Trébéens ont longtemps appelé « radio platane » près de l’église. Nos gendarmes de la COB ( Communauté de Brigades ) de Trèbes/Capendu, appuyés par des éléments du PSIG avaient investi les abords en début de matinée. L’individu est parvenu à déjouer le dispositif en s’enfuyant par les toits.
😉 Mais comme pour la Maaf , « ils l’auront un jour, ils l’auront ! »
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En cette fin d’après midi, pompiers, employés municipaux, gendarmes, représentants de VNF étaient mobilisés pour faire face à une fuite de carburant qui menaçait le Canal du Midi
Un peu avant 19h, un camion, immatriculé en Espagne, traversait notre ville en direction de Béziers. Dans le virage du pont de l’Aude, une ridelle se serait dégondée et serait venue percuter le réservoir de carburant, créant une brèche d’une quinzaine de centimètres. Le chauffeur qui ne s’était pas rendu compte de l’incident poursuit sa route et ce n’est qu’à l’approche de l’autre Pont que ses pneus ont patiné et empêché sa montée. Les « fidèles du Cantou »* à grand renfort de gestuelle lui signalaient la fuite.
La voie de circulation étant en pente, le carburant menaçait déjà le Canal. Rapidement, nos pompiers ont pu limiter la propagation du gazole dans l’eau en creusant une petite tranchée en contrebas du mur et en amont le flux des eaux a été stoppé. C’est l’épandage d’un absorbant qui a permis de stopper le risque. Les services de VNF avaient acheminé sur place des boudins de rétention qui ne se sont pas avérés nécessaires.
On saluera également la solidarité de l’époux de la restauratrice de l’Arganier qui a mis ses pots de fleurs à disposition pour la récupération du liquide qui s’écoulait.
La circulation a bien évidemment été perturbée durant 1h30. En soirée, seuls les stigmates du « désastre évité » marqués par des plots de signalisation témoignent de l’épisode de ce mardi.
* Lou Cantou : endroit privilégié de personnes du voisinage qui ont l’habitude de se retrouver là pour converser et saluer le passant. En l’occurrence, chez nous, il s’agit des abords du pont du Canal du Midi.
Peu après 16h, un dramatique accident avait lieu au niveau de la gendarmerie.
Maryse Panadéro, une trébéenne de 66 ans, alors qu’elle traversait pour rejoindre son domicile dans le lotissement en contrebas, a été percutée par une automobiliste qui roulait en direction de Carcassonne. Les secours rapidement sur les lieux ont longuement tenté de la ramener à la vie, en vain.
A son époux, ses enfants et petits enfants nous adressons nos pensées!
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Notre Reportage-Photo de l’opération de retrait du Lac >>> Cliquez ICI
Le véhicule qui émergeait partiellement des eaux du lac n’a pas échappé à Frédéric Emo le secrétaire de l’association de Pêche lors de sa balade matinale.
Il s’avérera qu’il agissait d’une voiture sans permis, appartenant à un Conquois, signalée ce matin volée, alors qu’elle était stationnée derrière l’établissement Castella sur l’espace des Capucins ( parking El Campo). Les pompiers plongeurs de Carcassonne se sont dans un premier temps assurés que le véhicule était vide, comme le veut leur protocole. Nouvelle immersion pour les hommes-grenouilles afin cette fois d’arrimer le véhicule retiré des eaux par la société d’assistance dépannage.
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Dans la nuit de mardi à mercredi, la polo d’une Carcassonnaise, qui était garée place de l’église au cœur du vieux village, a été volée. Ce jeudi en fin de matinée, le véhicule était retrouvé en feu au Dévez, au milieu des vignes.
Grrrr !!!
La maternelle des Floralies a été cambriolée ce week-end. La découverte des méfaits a eu lieu lundi matin. Matériel informatique, téléviseur, vidéo projecteur, argent en espèce … font partie des biens volés dans l’établissement de nos petits. L’école élémentaire, tout à côté, a aussi été visitée mais sans vol constaté. Dès 8h, ce matin là, nos gendarmes procédaient aux premières investigations.
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Une et un gendarmes de la brigade de Capendu qui étaient postés pour contrôles routiers entre le pont de l’Aude et les arènes ont été percutés par un véhicule.
Le conducteur gardois de la 206, qui roulait en direction de Carcassonne, se serait endormi au volant. En déviant de sa trajectoire, il a percuté les deux militaires. Transportés par les pompiers au Centre Hospitalier sans pronostic vital engagé: Si la gendarme n’a été victime que de blessures légères, son collègue, qui a été projeté à plusieurs mètres, est plus sérieusement touché aux jambes et à la tête.
Le contrôle d’alcoolémie sur le conducteur s’est avéré négatif.
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Si vous n’avez pu franchir le pont de l’Aude ce dimanche soir entre 20h et 21h, les bouchons avaient pour cause un accident. Un véhicule Mercédes trébéen roulant en direction de Carcassonne a percuté tout d’abord la Clio d’Ardéchois venant en sens inverse, puis un Renault Espace occupé par des Trébéens en choc frontal. C’est dans de ce dernier véhicule qu’une personne sérieusement blessée a été prise en charge par nos pompiers.
Dimanche 14h
Nous sommes toujours en vigilance ROUGE Orages et Pluie-Inondation et la fin du phénomène est prévue pour ce dimanche 30 novembre à 22h00.
Déjà hier samedi, les intempéries avaient entraîné l’annulation de rencontres sportives en foot d’une part : la ligue et le district avaient annulé les rencontres du week-end, pour le hand également: les deux derniers matches de la journée n’ont pu voir lieu.
Les équipes municipales sont sur le terrain depuis hier soir 22h30 avec une cellule de crise en place à la Mairie. L’Orbiel a quitté son lit et, même si la phase de décrue est amorcée, la route est fermée. L’Aude est restée en dessous du niveau du parking des Fargues, mais a tout de même atteint presque 3 mètres en début de matinée.
Trèbes en stand-by
En matinée, le maire Eric Menassi, prenait un arrêté municipal interdisant l’utilisation des stades, une décision appuyée peu après par une décision préfectorale. Le marché, une compétition au dojo, un loto à la salle Riquet, les matches à l’aiguille… tous ces rendez-vous n’ont pas eu lieu!!
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Nombre de Trébéens se sont retrouvés malgré eux concernés par la manif des agriculteurs de ce 5 novembre. Pour la plupart, en fin d’après midi piégés sur la 6113, ils ont dû s’armer de patience puisque leur trajet Carcassonne/Trèbes a parfois nécessité plus d’une heure. D’autres plus chanceux ont pu faire demi-tour et rentrer par Villalier. Ceux qui ont longé le feu qui obstruait la voie dans le sens Trèbes/Carca étaient pour le moins impressionnés. Plus tard en début de soirée, c’est toute la largeur de la 6113 entre le rond-point de Béragne et le pont de la voie ferrée qui était occupé par des palettes en flamme paralysant totalement la circulation. Par répercussion, les ralentissements étaient aussi subis sur la commune comme pour Christiane qui a mis 3/4 d’heure pour le parcours rond-point de Super U jusqu’à la route Minervoise.
Nos images du début de soirée et celles de Trébéens/Reporters du moment jusqu’à l’intervention des pompiers
😉 Merci à Virginie, Mélanie, Valérie, Nathalie… et à l’inconnu du mms
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Si le premier départ de feu samedi soir, vers 19h sur les berges d’Orbiel tout près du petit pont aux portes du village, ne suscitait pas d’interrogation particulière, le renouvellement des faits le dimanche soir à la même heure peut laisser penser à une origine suspecte pour les deux évènements. C’est près du Pont Vauban, mais seulement à une petite centaine de mètres du premier, que le début d’incendie du second prenait naissance. Deux interventions rapides de nos pompiers ont limité l’étendue de la combustion.
Nos images des 2 interventions.
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La famille qui naviguait sur le Canal du Midi a vécu une impressionnante mésaventure qui à quelques mètres près aurait pu tourner au drame…
Peu après 17h, hier, un couple et ses 3 enfants voguaient paisiblement sur le Canal du Midi lorsqu’à mi chemin entre les écluses trébéennes et St Julia, un peuplier s’est abattu sur leur bateau. Nos images laissent imaginer la violence de la collision qui a endommagé et immobilisé le bateau et le miracle qu’il n’y ait aucune victime. Une autre famille de plaisanciers arrivée peu après sur les lieux a trouvé les occupants du bateau blêmes et sous le choc. Ces secouristes improvisés ont aidé à évacuer la famille et ses effets personnels.
A l’aube ce matin, les représentants de VNF, Philippe Tan Chef de Centre et Dominique Olivier Chef d’équipe avec des spécialistes de l’élagage procédaient à la découpe du peuplier et permettaient à nouveau la navigation.
Nos images de l’intervention
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Le violent orage d’hier n’a pas duré très longtemps, mais la considérable quantité d’eau tombée en peu de temps a tout de même occasionné quelques dégâts ici et là sur notre ville. Durant deux minutes notamment, c’est un déluge qui s’est abattu avec un vent tourbillonnant qui accentuait l’effet impressionnant (notre vidéo). L »important volume d’eau tombé en quelques minutes a vite saturé les canalisations et occasionné des pressions sur les toitures entraînant des infiltrations chez des commerçants, des particuliers et dans des édifices publics.
Dans les locaux des Services Techniques
Si dans la plupart des cas quelques coups de raclettes et serpillières ont suffit pour « éponger », dans les bureaux des services techniques de la Mairie, les responsables ont du solliciter le services de nos pompiers. Les locaux situés en sous sol ont été inondés par l’eau provenant du coté de la Poste. S’infiltrant même par les gaines des réseaux électriques dans les murs, l’eau sortait en flux continu par les prises ( voir photo).
Appareils grillés par la foudre
Un impact de foudre sur le vieux village a grillé bon nombre de TV, boîtiers internet et autres appareils chez des particuliers.
Quelques images
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Quelques secondes en vidéo au plus violent de l’orage
Nos pompiers intervenaient dimanche en fin d’après midi sur un incendie qui s’est déclaré en bord de route entre Fontiès et Monze dans le grand virage du Col du Bouc. C’est un effectif important de 7 CCF (Capendu, Laure, Peyriac… ) que le SDIS a dépêché sur place, permettant de limiter la zone de végétation détruite par les flammes à 3200m². Une promptitude et une efficacité qui ont évité le pire dans ce paysage escarpé. Ce départ de feu, qui faisait suite à un autre la nuit précédente dans le même secteur, suscitait des interrogations quant à son origine.
Nos images de l’intervention
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En 1998, le 8 août au petit matin, alertés par le voisinage, nous étions sur l’avenue Pasteur pour prendre la mesure de ce qui avait été quelques minutes plus tôt l’incroyable scénario du rocambolesque casse des distributeurs de billets.
Les Faits
Un peu avant 4h, ce matin là, un commando de malfrats investissait le centre ville avec l’objectif d’emporter un ou des D.A.B. (distributeur Automatique de Billets). Rien n’avait été laissé au hasard, deux voitures en travers de la route, l’une dans le virage près de l’étude de Notaire, l’autre sur le pont du Canal bloquaient totalement la circulation avec tout à côté des hommes cagoulés qui faisaient signe aux automobilistes qui se présentaient de faire demi-tour. Un autre véhicule faisait des aller-retours sans doute destinés à intimider les éventuels piétons. Sur ce périmètre bouclé, le gang s’est tout d’abord attaqué au DAB de la Caisse d’Epargne tentant de le déceler du mur avec l’angle arrière d’un camion ( qui par ailleurs était doté d’un bras élévateur). Durant plusieurs minutes à grand coups de camion bélier le chauffeur guidé par ses complices eux aussi cagoulés et gantés, a tenté de démolir le mur de la banque. Les voisins immédiats assistaient stupéfaits à la scène de leurs fenêtres. Les tentatives à cet endroit là, s’avéraient au final infructueuses et le DAB du Crédit Agricole tout à côté était lui « protégé » par des voitures stationnées devant. C’est donc au DAB de la Banque Populaire sur l’avenue Pierre Curie que les malfrats se sont attaqués dans un deuxième temps. Là ce sont d’autres spectateurs qui ont suivi toute l’opération de leurs fenêtres. M. Montès, le receveur de la poste qui a l’époque occupait le logement de fonction dans la bâtisse voisine, s’est adressé aux hommes cagoulés qui se sont contentés de lui jeter des morceaux de parpaings du mur qui commençait à céder, pour l’inciter à s’éloigner de sa fenêtre. Tous les témoignages évoquaient une organisation maîtrisée par une douzaine d’hommes et des malfaiteurs sans armes étrangement calmes » On aurait dit un film, chacun avait son rôle, ils n’avaient pas l’air de s’inquiéter de nos regards. » A la Banque Populaire, l’action sera brève et efficace: Après avoir descellé le DAB, ils ont tranquillement tiré celui ci à l’aide du câble du bras élévateur du camion, qui leur permettait ensuite de le déposer dans un fourgon C25, dont ils avaient préalablement découpé le toit. Le commando a alors quitté les lieux laissant sur place le camion moteur allumé, un trou béant dans le mur de l’agence et les témoins abasourdis.
Jusqu’à l’aube, les gendarmes de la brigade de Trèbes alors commandés par l’Adjudant Pierre Garcia et de la Brigade de Recherche Départementale recueillaient les éléments et témoignages sur les lieux de ce rocambolesque événement.
Dans leur fuite le gang forçait un portail d’accès autoroute du côté de Fontiès, ils ont abandonné là une 309 Peugeot. En cours de journée le fourgon C25 avec le DAB vidé de son contenu ( +de 150 00 F) était retrouvé du côté de Bizanet ainsi qu’un autre fourgon IVECO avec à l’intérieur un chalumeau et une Honda Civic.
Dès le samedi à 13h le casse de notre ville était en ouverture des journaux télévisés tant les faits étaient exceptionnels et ce ne sont pas les habitants de l’avenue Pasteur qui vous diront le contraire!
L’enquête
Dans les jours qui ont suivi, un tas de faits venait étoffer le dossier et permettait de reconstituer le puzzle…
Les malfrats avaient fait leurs « emplettes » en début de nuit sur un tracé qui les menait chez nous: Le vendredi soir un peu avant minuit, près de Névian deux voitures avaient barré la route à la BMW d’une famille de Belges. Sept hommes cagoulés avaient foncé en direction du couple et de leurs deux enfants, qui avaient verrouillé les portes de leur véhicule. Les malfaiteurs ont aussitôt brisé les vitres à l’aide de battes de base-ball et d’un extincteur, obligeant les occupants à prendre la fuite à pied. Sur l’autoroute des automobilistes entre Beziers et Narbonne avaient vu des gens cagoulés dans deux voitures dont une Golf comme celle vue à Trèbes plus tard dans la nuit. Le vol de la 309 se situait dans le Minervois. Le fourgon IVECO avait été volé à Montredon des Corbières et le C25 à Floure, le camion avec bras élévateur avait été volé au garage Peugeot Razous. C’est non loin du rond-point de l’Europe près du passage sous la voie ferrée qu’un joggeur trouvait plus tard le toit du fourgon découpé.
Cette sacrée organisation qui ressortait de l’enquête permettait aux enquêteurs de regrouper leurs investigations avec celles qui concernaient dans les 2 mois précédents 19 attaques réussies ou non de DAB en Languedoc Roussillon , Provence-Alpes-Côte-d’azur. Néanmoins celle perpétrée à Trèbes était de loin la plus impressionnante par son mode opératoire, puisque l’on pouvait estimer à au moins 7 ou 8 chauffeurs qui ont opéré simultanément.
Le dénouement
Le travail de tous les services concernés permettait quelques mois plus tard de mettre sous les verrous tout un groupe de personnes issues de la communauté des gens du voyage.
Nos négatifs des images de cette nuit là ont souffert mais vous pourrez tout de même estimer l’ampleur de l’évènement.
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La navigation habituellement fluide sur le Canal du Midi était immobilisée hier matin…
Dans la nuit de jeudi à vendredi, tout à côté du petit Pont du Domaine de MillePetit un grand tilleul s’est couché aux alentours de minuit obstruant totalement le passage. Les responsables de VNF ont fait appel aux spécialistes de l’entreprise ARF (ceux qui ont opéré à abattage des platanes). C’est en fin de matinée qu’ils ont procédé à l’enlèvement sous le regard des plaisanciers de la file de bateaux en attente.
Les Images de Stéphane reporter du moment
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Sur la Route de Beziers entre la Gendarmerie et le chemin qui mène au Restaurant le Moulin, la voiture encastrée sur le parapet laisse présumer de la violence du choc qui a été fatal à un octogénaire de Pradelles en Val en début d’après midi ce samedi. Les pompiers qui ont procédé à la désincarcération de la victime et les gendarmes qui géraient la circulation lors de l’intervention, ont vu notre préfet de l’Aude qui empruntait cet axe routier à ce moment là, faire une halte… un geste de considération qu’ils ont apprécié !
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