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Archives des mots-clés : Trèbes d’Hier

Le camping trébéen: du sauvage au 4**** …

camping-hierC’est avec la 1ère carte postale, qui date de plus de 40 ans, de notre diaporama que l’on retrouve le témoignage de la présence de premiers adeptes du camping ou plus précisément en l’occurrence du caravaning sur notre ville… Sur l’emplacement actuel du Lac, ils pratiquaient alors le camping sauvage en amont du Pont de l’Aude. Quelques années plus tard, la municipalité aménageait, en aval du pont sur la rive droite du fleuve, un terrain précédemment occupé par des vignes comme vous le constaterez sur nos vieilles images. En ce temps là, les policiers municipaux avaient en charge, deux fois par jour, la collecte des règlements auxquels devaient se soumettre ceux qui s’étaient installés sur les lieux semi-sauvages qui ne disposaient que de deux wc et 1 douche. Heureusement déjà en ce temps là, la piscine municipale tout à côté, alors à ciel ouvert ( inaugurée en 1967),  représentait un atout considérable. Les jeunes Trébéens avaient plaisir à venir traîner par là et l’on pouvait y trouver un certain Henri Anton parmi les Murcia, Net… qui profitaient de l’espace lorsqu’il était inoccupé pour pousser le ballon rond.

Peu à peu l’espace a présenté une physionomie  plus accueillante et en 1981, René Diédrich s’installait avec sa petite famille dans le tout nouveau logement de fonction pour y assurer une réception permanente des campeurs et l’entretien des lieux. Le terrain devenait alors un camping digne de cette appellation.
Lorsque René a intégré l’effectif de la Police Municipale en 1984, c’est Philippe Rouzaud qui a relevé le flambeau. D’aménagements en aménagements le Camping obtenait sous sa responsabilité l’attribution de 2 étoiles en 1986.
😉 Vous souvenez vous des emplois T.U.C.  des années 80? C’est sous ce statut que Philippe s’est vu octroyé les services d’un jeune qui portait le nom d’Henri Anton…

camping-henri-hierAu début des années 90 lorsque les élus ont souhaité mettre fin à la régie municipale et confier la gestion à un privé, parmi les dossiers déposés il y avait encore un Henri Anton qui, en prime, connaissait parfaitement les lieux et le fonctionnement.
C’est ainsi que le jeune homme devenu adulte prenait en 1992 la barre de la structure. Depuis il n’a eu de cesse d’améliorer le cadre, développer les services… Parmi les travaux conséquents, Henri a doté l’espace restauration d’une pergola dès les premières années, a délimité les emplacements par des haies, a programmé des soirées animations, a doublé la surface des sanitaires, a installé une signalétique,  des Bengalis (ces structures de toile « clés en main » judicieusement aménagées), une aire de jeux…  En 2005, il créait avec Brigitte son épouse le site internet du camping… Plus récemment, c’est une bâtisse en dur qui a remplacé la pergola et en contrebas une terrasse invite les campeurs à prendre place pour s’y rafraîchir ou dîner… et tous ces innombrables petits plus qui font la vie belle pour les clients jusqu’à en faire ce qui est aujourd’hui un chaleureux havre de détente.  

De récompenses en récompenses jusqu’aux 4 Etoiles
Les organismes qui octroient les labels et classifications ont répondu favorablement à tous ses efforts auxquels s’ajoutent des qualités d’accueil indéfectibles et au fil des années, Henri a obtenu du département le label « Accueil Confiance Pays Cathare » en 1998, le classement 3 étoiles en 2003, puis en 2011 c’est la région qui lui a attribué le label  « Qualité Sud de France » et enfin voici quelques semaines c’est la classification ****  qui couronne les 22 années d’excellente gestion qu’Henri a prodigué à ces quelques arpents de terre qui lui ont été confiés et l’attention qu’il porte depuis à ses campeurs.
Une récompense largement méritée, qui tombe à point nommé puisque le bail étant arrivé à terme et les candidatures ré-ouvertes, les décideurs lui ont renouvelé leur confiance pour de longues années. C’est donc avec un méga sourire qu’Henri se projette vers demain avec des projets plein la tête.
🙂 Joli parcours Henri, bonne route vers la 5ème !

camping-trèbes-juillet2014
Des images d’hier et d’aujourd’hui


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Des images de nos artificiers d’hier

serge-ferrini trèbesLe feu d’artifice fait partie de la vie des Trébéens depuis 1983 et c’est M. Rancoule qui en avait la responsabilité les 2 premières années. A son départ à la retraite Serge Férrini a assuré la relève après une formation à Monteux dans la société Ruggieri, qui fournit la plupart des grands feux d’artifices depuis 1739. Depuis  1990 la loi impose la qualification d’artificier pour la manipulation de mortiers dépassant les 100 millimètres. 

Jusqu’en 1989 le spectacle pyrotechnique se déroulait sur les berges du Canal, il a ensuite eu lieu sur les berges de l’Aude avec pour toile de fond le Clocher et le Pont. A l’époque Serge bénéficiait de l’aide de Philippe Rouzaud , et comme vous les verrez sur nos images Grégoire Serrano, Kader Azzouzi, Lionel Sanz lui ont aussi prêté main forte par la suite. La table de tir et le matériel se situaient en ce temps là sur les propriétés des familles Castans et Rajol.  

Lorsque Serge est parti bosser sous d’autres cieux en 2003, ce sont des pyrotechniciens qualifiés K4 de la même boite devenue Lacroix-Ruggiéri qui sublime les ciels de Paris ou de Carcassonne de  lumières et couleurs, qui ont pris le relais.

Nos images et articles des années 90 et + de nos archives


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artificier2012

Nous vous invitons à lire ou relire notre article sur les « Coulisses du Feu d’Artifice » de nos jours
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L’Office de Tourisme au siècle dernier…

ot-hier-trèbesVous souvenez-vous de l’Office de Tourisme du temps où ses locaux se situaient dans le petit recoin sur l’avenue Pierre Loti à côté de la maison de Mme Bacquier? Tout un pâté de bâtisses qui ont été rasées.
Voici nos images de ce temps là avec déjà des hôtesses qui présentaient des produits artisanaux… l’équipe qui composait le bureau avec déjà Mme Biel et Bouba  mais aussi claude Périlloux, Colette Robert, Angèle Plateau ou encore Denis Lardo Cornefert qui était photographe et dont nous avons appris le décès il y a 2 ans.
Nous y avons ajouté nos images « collector »  de séances de « Connaissance du Monde » qui avaient lieu dans la salle des fêtes au milieu du vieux village, elle aussi démolie. Vous verrez aussi, les premières visites guidées de l’église, le jury et les lauréats d’un concours photos, des clichés des 1ers marchés d’été… sur les images du vttathlon les Trébéens reconnaîtront aussi les anciens bâtiments préfabriqués  du Collège qui ont laissé place à l’OMSL.
D’autres thèmes de nos archives à suivre… 


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Trèbes, il y a 25 ans … en vidéo

trebes-passionToute politique mise à part, voici un document vidéo qui avait été réalisé par Philippe Calamel  (alors photographe au 45 de l’avenue Pasteur) pour la campagne de Pierre Mauries en 1989, que nous partageons seulement comme un témoignage du Trèbes d’il y a 25 ans…

Vous y verrez le Pépé Deniort, dans son antre de Maréchal Ferrant qui se situait encore sur l’avenue Pasteur dans les murs de l’actuel Happy Snack. Vous reconnaîtrez  Jean Sol qui avait été maire de la commune, Paul et Jean Paul qui exercent toujours à la coopérative, David Oña à la guitare… et  d’autres bouilles dont celles de gamins qui ont aujourd’hui 1/4 de siècle de plus. En fond musical on retrouve Allégro. Une évocation  de la fête du cheval et d’autres aspects de l’époque…

😉 A revoir pour ceux qui connaissaient ce document et à découvrir pour tous les autres!!

Flash Back sur les ateliers théâtre du Collège dans les années 90

college-theatre-annees 90Une petite fouille dans les boites à négatifs de nos archives et voilà quelques images qui rappelleront de supers souvenirs à celles et ceux qui fréquentaient les ateliers de Maggy Lacabane dans les années 90! Vous y reconnaîtrez également Cathie Falcou qui contribuait également à l’encadrement du club théâtre.


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Mémoire de Crues de l’Aude et de l’Orbiel en chiffres et en images … 15 repères mis en place sur Trèbes

mémoire inondations mai2014Le SMMAR (Syndicat mixte des milieux aquatiques et des rivières) a pour mission, entre autres, une assistance aux communes dans le cadre de son action de sensibilisation au risque inondation.
Il est à l’origine de  la conception de repères de crues sous forme d’un macaron inaltérable représentant le bassin versant de l’Aude et indiquant le nom du cours d’eau concerné ainsi que la date de crue. Les hauteurs ont été établies par rapport au terrain naturel. L’organisme a établi  800 repères fiables et représentatifs du bassin de l’Aude. Trèbes, parmi 270 communes à risque identifiées, a reçu,  elle, 15 macarons dont la pose (bâtiments, pylône, pont) a été assurée par les services technique de la Mairie.  Dans un objectif de sensibilisation, en indiquant les hauteurs d’eau atteintes, lors des crues, les repères rappellent la fréquence des débordements et les risques encourus.

Repères de crues sur la Commune de Trèbes
Hauteurs relevées par rapport au terrain naturel

Repère sur
vue aérienne
Cours d’eau Année Hauteur  Lieu
1 Aude 1891 1,58 m Mairie
2 Aude 1820 1,52 m Entrée Piétonne Parking de l’Aude ( Les Fargues)
3 Aude 1963
1981
0,98 m
1,88 m
Parking de l’Aude (Les Fargues )
4 Aude 1891
1970
2,67 m
1,39 m
Bâtisse près du Lac
5 Aude 1891
1970
1,15 m
2,43 m
Les Arènes
6 Aude 1891 2,46 m Piscine
7 Aude 1970 1,71 m Ecole Maternelle de l’Aiguille
8 Aude 1891 2 ,16 m Centre Départemental Tennis 
9 Aude 1970 0,83 m Station d’Epuration
10 Orbiel 1999 1,77 m Pont d’Orbiel
11 Orbiel 1962
1999
1,80 m
2,04 m
Pont Vauban

😉 Pourquoi pas une idée balade…
Nous avons photographié les 15 macarons et réalisé des montages ( ci dessous)  qui vous permettront de les repérer facilement, ils sont numérotés sur notre vue aérienne. 
Nous vous suggérons, la prochaine fois que vous serez près des arènes ou de la piscine par exemple, d’imaginer à partir des repères jusqu’où les eaux ont pu parvenir vers le sud.

Nous avons ajouté deux autres lieux qui indiquent des niveaux de montées des eaux, l’un au Domaine de La Roque, l’autre sur la façade du Café de l’Aude.


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inondation1970Des documents présentent d’intéressantes  informations de ces crues…
Nous vous invitons à consulter les Bulletins de la Société d’Etudes Historiques de Trèbes qui ont, à plusieurs reprises, consacré des dossiers aux crues.

A propos des inondations de 1970 Camille Augé adjoint au Maire écrivait …

… Le samedi 10 et le dimanche 11 octobre 1970,  des pluies torrentielles  tombaient sur notre région et, dans la nuit du dimanche au lundi, l’Orbiel et l’Aude grossissaient démesurément : l’Aude accusait au plus fort de la crue le lundi à 6heures  un étiage de 6mètres.

L’orbiel, de son côté, avait envahi la rue du Pont Vauban et pénétrait dans les 4 premières maisons; Ses eaux réunies à celles de l’Aude  couvraient de plus d’un mètre la plaine du Déves tandis que l’Aude roulait ses flots limoneux dans la partie Nord du Faubourg des Capucins, Propriété Mitraille, avenue de la Gare (aujourd’hui avenue Charles de Gaulle), rue George-Sand et continuant vers Barbaira, envahissait le quartier de l’Aiguille, le Domaine de Saint Pierre ( La Roque) …

(Vous retrouverez des illustrations de cette crue dans notre diaporama ci dessous)

 Quelques chiffres de la crue du siècle des 12 et 13 Novembre 1999 dans l’Aude
25 morts, 1 disparu, 200 000 personnes touchées, 6000 personnes évacuées dont 1700 dans l’urgence 150 ont fait l’objet d’un véritable sauvetage. Plus de 600 hélitreuillages, 232 communes touchées, 100 routes coupées, des centaines de maisons endommagées, plus de 2,5 milliards de Francs de dégâts, 26 ponts détruits, 5000 hectares de vignes ravagés, 500 entreprises sinistrées.

Dans les images ci dessous vous verrez …
Le Canal éventré au niveau de l’écluse lors de l’inondation du 3 mars 1930, la crue de 1970, nos images de la crue de 1999.
Nous y ajoutons nos images d’inondations lors de fortes précipitations où des problèmes d’évacuations  avaient entraîné la montée des eaux dans les rues : Route de Narbonne au niveau de l’ancien restaurant routier et rue de Bruxelles où nous étions avec les habitants avec de l’eau jusqu’à mi-cuisses.
Si vous avez des images de crues ou inondations que vous voudrez bien partager merci de nous contacter 06 38 84 09 90 ou contact@atrebes.com


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Pour compléter ce dossier nous vous invitons à revoir nos articles …
« 3 jours de simulation plan ORSEC crue centennale » cliquez ICI    ainsi que des sujets à propos  de crues plus récentes,  sur la page que vous trouverez  en Cliquant ICI

Notre Fleuve Aude… Autrefois

aude-hierSur ces images d’antan vous verrez l’évolution de la physionomie des berges de notre fleuve au fil du temps …  vous y reconnaîtrez, entre autres, clairement l’espace qui est aujourd’hui occupé par le parking des Fargues


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Quand le passé revient dans le vieux village…

TREBES place marché

C’est à Claude Siman que nous devons ces montages qui ramènent le vieux village d’hier dans son environnement d’aujourd’hui ! bravo Claude !

TREBES place marché (2)

trebes DSC_8506

trebes1969_2013 Salle_Victor_Hugo

 

Le Vieux Village d’Hier et d’Aujourd’hui en Images


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Les Commerces du siècle dernier dans le Vieux Village

vieux-village-d-hier2

René Diédrich, Paulette Cugueillère, Denis Lachet, Jeanne Rigail, Angèle Martinez, Jackie Pouzenc, Elia Métrolho, Odette Moura, Nénètte Cella, Vivi Carivenc, Françoise Castans,  mais aussi Claudine, Valérie…  Ce sont toutes ces personnes qui nous ont donné de leur temps,  ont fouillé dans leurs mémoires  dans leurs archives, pour nous aider à réaliser ce sujet… et nous leur adressons un grand merci et partageons avec elles la signature de ce bond dans le passé.
cantou vieux village
Alors que nous étions dans le vieux village, vieilles cartes postales en main pour faire des prises de vues d’aujourd’hui en même lieux, nos aînées du cœur de Trèbes nous ont volontiers raconté la vie d’antan dans les ruelles. Elles évoquaient pour nous la multitude de commerces qui animaient le village…   l’envie d’aller plus loin s’installait et nous sommes allés toquer aussi chez d’autres anciens qui ont eux aussi rassemblé leurs souvenirs pour nous .
Nous avons recoupé tous ces témoignages, les avons classés rue par rue… Il était temps d’aller chercher une aide précieuse auprès de René Diédrich qui durant de longues heures nous a patiemment permis de corriger, compléter… L’autre aide essentielle a été Paulette Cugueillère, 85 ans, la mémoire intacte et l’œil précis, c’est grâce à elle que nous avons pu localiser sur le plan cadastral les maisons qu’occupait la quarantaine de commerces que nous avons listés.
La liste n’est pas exhaustive, mais elle reflète malgré tout la richesse du tissu économique qui dynamisait le coeur du village. Si vous avez connaissances des prénoms manquants ou d’autres marchands, boutiquiers, professionnels, vous pouvez nous aider à la compléter contact@atrebes.com .
Dans un document que vous pouvez télécharger en Cliquant ICI nous avons ajouté des visuels qui vous permettont de localiser plus facilement ces commerces de notre passé. 

trebes-cadastral-numéroté-nov2013

Rue du 11 Novembre                 au XIXe Siècle : Grand Rue
Café Delteil … > Fruits et Légumes  >  Auto Ecole Caparros    1
Docks Méridionaux > Epicerie Mme Ferrier, Georgette  Herrera > Les Trésors du Languedoc  1997 Jean Pierre Lauret ,  1998 Yvette et Pierre Pauron,  1999 Jo et Tom >  Boucherie Marcel Ceccon >  Réparateur Electro Ménager  Pignon  > Épicerie Erika Khelif et Kamel Oulgouch  >  Restaurant l’Arganier 2012 Myriam Ryad 2
Coiffeuse Dames  Marie Bonnaud 3
Pandourel  Sylvette Calamel–Diedrich  > Pandourel  Jeanne  > English Bookshop 2003 Kristie Gordon 4
 Boucherie  Albert et Juliette Ribère et leur fils  jeannot 5
Charcuterie  Marcelin Py –Raymond Cougnenc >  de 1964 à 1993 Ginette et Léon Poncot  et leur fils Didier 6
L’Abeille Audoise > Tabac Presse Blanche et Alfred Vidal >  Mercerie Julia Montanes >  Objets Souvenirs « Île aux Trésors » 1994 7
Charcuterie Edmond Barde … 1900 Benet 8
Rue de Lorraine                       au XIXe Siècle :  Rue des Ecoles
Boucherie Pistre- Griffe >  Maison Carbou :  La fille Pistre, Hortense épouse Henri Carbou . Après leur retour des colonies, ils habitent là tout en devenant propriétaire viticulteur et  Pépiniériste. Une activité que poursuit encore aujourd’hui Jacques Vieux leur petit fils
La maison a été rasée et l’emplacement est occupé par le parking.
9
Notaires 10
Salle des Fêtes SdF
Place du Marché
Boulangerie Raynaud > Droguerie Louis Rico > Droguerie  Michèle Cazaux > Atelier Katleen Burlimi 11
La Ruche Blanche Revel (mère de Blanche Vidal) > Confection Huguette Imbert 12
Chust Tissus Michèle Imbert > Poissonnerie Imbert 13
Coiffure Roger Bonnaudè Coiffure Cathie >  Coiffure Synthèse 2001 à 2010 Marie France Pichot > Coiffure Pinki 2010 à aujourd’hui  Celine Lagarde 14
Rue Victor Hugo              au XIXe Siècle :  Rue de la Poste 
Coiffeur Granana 15
Bureau de Tabac Presse  Escourrou 16
Boucherie Capelle è Boucherie Burlan 17
Repasseuse Sié 18
Epicerie Philippine > Epicerie Josette Tesseire ( Bistuer) > Magasin de Chaussures Marius Garcia > Mercerie Bazar Julia  Montanes 18A
Charbon Bois  mais aussi Fruits et Légumes Légumes Clémentine Pujol 19
Couturière Léda Etienne 20
Cordonnier  Clément Dat 21
La Poste P
Rue du 14 Juillet               au XIXe Siècle :  Rue de la Mairie
Coiffeur Antoine  >  Coiffure Marie Christine Magail 22
Grand Café de Renne > Mélendez > Gaston et Jeanne Ferret > Pouzenc  > Franck  > Rigaud >   Le Félin  1988 Flô Batet 23
Electricien Maurice Cassignol,  sa mère était sage femme 24
La Mairie M
Rue de Strasbourg                      au XIXe Siècle :  Rue des Fargues
Boulangerie  André Blanquier >  Marcel Blanquier 25
Ecole des Petits >  Boulangerie Julien Bastouil >  Epicerie Millavet Unico > ?? 26
Rue du Plô d’Orbiel              au XIXe Siècle :  Rue d’Orviel
Cordonnier Boyer  27
Charcuterie Vieu > Geni Mouraro  lavait le linge au canal > actuellement on y trouve une activité de location de vélos 28
Place du Portail d’Orbiel
Serrurier Rouanet ,( 😉 selon les souvenirs des anciens du village toutes les portes ouvraient avec  la même clé) 29
Rue Voltaire 
Épicerie Eudoxie Cassé >  Épicerie Laurence Barthes ( qui déménage l’activité juste en face) >  Épicerie Paquareau >  Épicerie Espérance Douce >  Épicerie Martin >  Cordonnier Jean Luc Durand 30
puis
31
Couturière à façon Mme Plana, (mère d’Irène Bacquier, grand-mère de Marie Claude et Jean Sentenac)   habitait là mais avait son atelier rue Pierre Loti dans une maison rasée lors de la réalisation du rond point. 32
Épicerie la Ruche du Midi 33
Rue Lamartine
Cabinet Docteur Sol 34
Boucherie Douce 35
Rue de l’Eglise
Epicerie Verdier  > Epicerie Jean et Paulette Bardon 36
Un cordonnier  était aussi dans cette rue
Rue d’Alsace
Cordonnier Bardou 37
Margot du Beurre elle habitait là  et passait de maison en maison livrer son beurre qu’elle transportait dans un  panier 38
Atelier Ferronnerie des Frères Jambert 39
Epicerie Louise Alary 40
Place  du Plô                 au XIXe Siècle :  Quartier du Plô
Boulangerie Py > Boulangerie Louis Lachet > Boulangerie Marcel Lachet >
Boulangerie Raymond et Raymonde Graïa > Boulangerie Daniel Guideman
41
Epicerie Marcelle Lacuve 42
Ecole Libre Mme Des Garets
Puis Maison de Retraite
E
Rue de l’Anguille
Maison de  Mme Bardy, elle livrait les journaux avec son charreton 43

Commerces dont les Trébéens se souviennent, mais que nous n’avons pu localiser

Birot Cordonnier 1876
Costessec  Pierre Marchand Tailleur
Cassignol Fabriquant de Chaussures sur Mesure
Duchan Adrien Epicerie Mercerie
Delteil Cordonnier
François Griffe Cordonnier 1846
Aubin Grasset
Auguste Bélugou atelier peintre vitrier

Voici des documents que nous avons chipés dans les trésors de René Diedrich  et qui témoignent  de cette vie commerçante passée… 


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Le beau défi de Patrice Leplat

patrice-leplatA un an du centenaire  de la guerre 14-18 , qui débutait le 3 août 1914, Patrice Leplat nous livre le fruit déjà bien avancé d’un colossal travail de recherche. C’est aux Trébéens  tombés pour la France qu’il consacre un « livre d’or »…

En février 2003 ce passionné d’Histoire s’installe en famille dans notre ville, plus précisément au cœur du vieux village, qu’il quitte le matin pour aller remplir à Carcassonne ses « missions urbanismes » . Très vite, avec Sophie sa compagne, ils trouvent leurs marques dans les ruelles trébéennes, tissent des liens avec le voisinage,  s’impliquent dans la vie locale, au point de donner naissance à l’association « les voisins du vieux Trèbes ». Depuis à travers des animations cordiales comme les repas, vide-greniers, découvertes du patrimoine, ils contribuent à un « bien vivre ensemble ».

Pour revenir à  son attachement à l’Histoire et à son goût pour les investigations longues et minutieuses, l’engouement ne date pas d’hier puisque Patrice a, il y a quelques années, planché sur l’histoire, le patrimoine, la généalogie de l’Ile de Groix avec pour toile de fond la famille de Sophie.

patrice-leplat2Sur les terres de son Trèbes d’adoption, à quelques pas de la place du Souvenir, depuis trois ans Patrice s’attelle à un travail de fourmi  pour en quelque sorte « remettre debout » ces hommes qui ont donné leur vie pour la patrie. Fasciné par le patriotisme qui animait les hommes dans cette douloureuse page de l’Histoire, il a à cœur de faire que les 106 trébéens qui figurent sur le monument aux morts  ne soient pas qu’une ligne. Pour cela il a choisi le principe du « Livre d’Or » qui selon une loi de 1919 aurait du immortaliser les valeureux combattants dans des registres ( un par département) qui auraient du être déposés au Panthéon, une démarche interrompue par la guerre de 39-45 et jamais finalisée.

Ainsi donc à ce jour, il a fouiné, recueilli, classé, collationné une kyrielle d’informations à propos des 106 (ou 107 selon certaines données) Trébéens concernés.  C’est aussi une immersion dans l’histoire trébéenne sous de multiples aspects que permet le produit de sa quête. Pour la plupart de ces hommes,  il a pu constituer une fiche enrichie  d’abondantes données, mais parsemée de nombreuses interrogations. De la joie des trouvailles, à la déception des impasses en passant par les casse-têtes, toutes ces investigations passionnent Patrice.  Ses diverses sources, comme « Mémoire des Hommes » du Ministère des Armées, où les répertoires généalogiques soulèvent parfois de  captivantes énigmes avec des informations contradictoires, qu’il aimerait bien résoudre.

Durant les 12 mois à venir qui conduiront à la date du centenaire, notre Trébéen ne lâchera pas l’affaire  et aujourd’hui nous faisons écho avec plaisir de sa main tendue  et son appel d’aide qu’il adresse aux familles des disparus, aux passionnés d’histoire comme lui, ou simplement à ceux qui détiennent des documents qui permettraient de démêler les arcanes,  d’élucider les mystères et ainsi compléter ces fiches qui mettent toute une dimension humaine derrière chaque nom.

Alors pour l’aider à réaliser ce défi, que vous pouvez consulter  ce lien www.trebes1914.fr   contactez-le au 07 81 30 59 05  ou par e-mail voisins.trebes@free.fr

Un site passionnant…

nous vous invitons aussi à découvrir ce site  http://www.planete-genealogie.fr/trebeen/trebes_genealogies/liste/individu/  qui regroupe nombre d’informations passionnantes sur les trébéens.

Flash Back sur « le petit Commerce » de l’avenue Pierre Curie depuis les années 80

A l’occasion du départ à la Retraite de Jeanine Alary  ( salon de coiffure Hair 2000)…

30 ans sur les berges du Canal, prétexte à feuilleter avec Jeanine le livre du « petit commerce trébéen » depuis les années 80.

port-ciel

Le canal et ses berges étaient loin de  leur physionomie d’aujourd’hui…  
De son salon elle avait vue sur les jardins sur la rive en face. Elle se souvient que l’on ne voyait pas la route Minervoise. Notre coiffeuse a connu l’arrivée de la société Connoisseur et ses bateaux avec juste un petit local, puis le creusage des tonnes de terre et donc la disparition des jardins pour laisser place à la structure d’aujourd’hui.

Lorsque Jeanine  s’est installée sur l’avenue Pierre Curie, peu d’activités animaient l’artère.  Il n’y avait que l’atelier de menuiserie de Robert Azaïs, le cabinet du kiné Covillard. C’est en fait le garage de ce dernier qu’elle a transformé en salon.

Au fil des ans elle a vu naître  de nombreux commerces et fermer certains…
Le magasin de bricolage de la famille Azaïs dans la bâtisse aujourd’hui occupée par  le cabinet Aline Battut,
Le salon d’esthétique de Mme Adroit. La création de la Trattoria par Faby  Gréchi puis le passage de relais  Cathie et José.
La construction du local qui abrite aujourd’hui l’Office de Tourisme et qui a été durant quelques années un petit supermarché Schlecker…  
Le départ à la retraite du kiné et l’installation dans les lieux des Vignes de Bacchus tenues pas deux autres commerçants avant la reprise par Pierre et Sabi. Et les derniers installés sur l’avenue la poissonnerie et son restaurant.

NIGHT FALLS IN TREBES-OUR LAST NIGHT 

Parmi ses souvenirs, elle conserve celui d’un défilé de mode qui dans la salle des fête au cœur du village avait réuni de  nombreux commerçants. L’occasion de mêler nos souvenances aux siennes et évoquer  quelques uns de ceux  qui faisaient alors la dynamique économique du cœur de  ville.  Robert Azaïs était alors le président de l’Union des Commerçants. Pour ce défilé les lignes de vêtements étaient prêtés par :
-Pandourel , ce petit magasin de vêtements au 14 de la rue du 11 novembre qu’avait créé Sylvette Calamel-Diedrich et avait été repris par Jeanne (dont nous avons oublié le patronyme).
– Maria Camel qui était installée alors avec une activité de vêtements et lingerie dans la local aujourd’hui occupé par les assurances Aviva au 55 de l’avenue Pasteur.
-Renée et Henri Cébolla qui avaient créé un magasin d’articles et vêtements de sports  sur la même avenue et qui avait été racheté par Eric Sarrio par la suite .
Pour les coiffures, Jeanine avait partagé la tâche avec Colette Imbert et Rosy Papaix. C’est Philippe Calamel du studio photo de l’avenue Pasteur « le 8ème Art » qui avait immortalisé cette soirée là.  Que de souvenirs… !

Un flash back sur la vie trébéenne comme on les aime !!!

L’Histoire

Voici succinctement ci-dessous quelques étapes essentielles de l’histoire de la Cité Trébéenne.

Pour approfondir le passé Trébéen sous de multiples facettes, nous vous conseillons vivement les documents  édités par la Société d’Etudes Historiques de Trèbes. ( Voir Associations)

Fin du quatrième millénaire av. J.-C

Le passé Trébéen ne livre que très peu de détails de son histoire la plus lointaine. Des vestiges récemment mis à jour permettent tout de même d’en savoir plus long sur une occupation du Moural (Millegrand) datée fin du quatrième millénaire av. J.-C  (voir rubrique Patrimoine)

L’âge de bronze

 Aux alentours de 3500 avant J.C. du village aggro-pastoral du Laouret, naît sur la butte du Plô, aux abords du confluent de l’Aude et de l’Orbiel une bourgade qui deviendra au fil des siècles le « vieux village » actuel.

1110

Le village est alors désigné sous le nom de TRESMALS, une appellation que peut associer aux seigneurs et  chevaliers  de Tresmals ( dont on note la présence dans l’histoire du carcasses en 1082).  Le blason porte les trois maillets

 Après 1220

Tresmals devient Tresbes. Certains vous diront que le changement est dû à un calembour, d’autres préfèrent la version qui l’attribue aux villageois qui trouvaient l’appellation inconvenante et sujette à moqueries. Toujours est-il que sur le blason 3 B viendront remplacer les maillets. Le nom de la ville perdra par la suite le premier S et devient le TREBES d’aujourd’hui.

reste-remparts Moyen-Age

Au cours du moyen âge, la prospérité de la bourgade repose essentiellement sur la culture des céréales, de l’olivier, de la vigne et de l’élevage.

Un millier d’âmes vit ainsi avec pour protection les remparts de la bourgade dont les seuls restes de nos jours sont visibles sur 6,4 mètres rue Riquet, en bordure du Canal du Midi, on distingue une meurtrière obstruée.

XVII siècle

La construction de cette importante voie de communication qu’est le Canal du Midi et (dont l’étape de construction reliant Trèbes à Toulouse est déterminée en 1666 sous Louis XIV), contribue à l’essor trébéen. Deux ans plus tard est acceptée la partie du Canal qui relie Trèbes à la Méditerranée.

1855

C’est la voie ferrée qui à son tour va aider au développement de la cité Trébéenne, qui sort de ses murailles et va notamment s’étendre sur la rive droite de la rivière Aude où  Le faubourg des Capucins va croître.

 D’autres installations comme celle du télégraphe électrique( en 1869) jusqu’à l’implantation de l’autoroute dans les années 70, mènent Trèbes jusqu’à son développement actuel.

Administration ancienne (1789-1999)

Souveraineté 1789, royaume de France
1790, Aude
  Département 1793, Aude
1801, Aude
District 1793, Carcassonne
Arrondissement 1801, Carcassonne
Canton 1793, Trebes
1801, Cappendu [Capendu]
Municipalité 1793, Trebes

      

Trèbes d’Hier

trebes-hier

Sont regroupés ci-dessous des sujets qui permettent un bond plus ou moins lointain
dans le passé de notre ville 

Paul Autier nous avait conté « le Café du Commerce »

cafecommerceDans le  quartier que l’on appelle  est encore le faubourg, l’avenue  des Capucins (où plus tard « la 113 ») a connu de belles années d’effervescence…

Paul Autier nous avait raconté l’histoire du Grand Café du Commerce qui dans cette même activité  était devenu le Café le drop en 1984 et n’existe plus aujourd’hui.

Il nous avait confié un tas de détails et d’anecdotes dont certains lui venaient de ses anciens et dont il avait plaisir à se souvenir…

C’est son arrière grand-père Jean Durand, qui en 1877 crée l’établissement sous le nom « Grand Café du Commerce ». Sur la façade était également mentionné  » Bureau de la voiture de Laure  » puisque la diligence qui amenait  les gens à la gare avait là son étape finale. A cette époque, pas moins de 4 cafés se côtoyaient sur cette avenue. Le chemin de fer juste en face drainait un important passage qui faisait vivre ces commerces dans lesquels la population trouvait aussi de multiples services comme le gardiennage des vélos des voyageurs. La plupart de ces bistrotiers avaient une autre profession, l’un tailleur de vêtements  ou comme Jean Durand fabriquant de harnais…

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En 14 l’électricité seulement de nuit…
Son fils Antoine, tout en étant bouilleur de cru, partant chez les propriétaires locaux avec son alambic tiré par des chevaux,  prend la succession en 1914 et l’établissement devient le « Café Durand ». En ce temps là, l’électricité fournie par l’usine de Trèbes fonctionnait seulement la nuit et la facturation se comptait par lampes utilisées. Les années trente apportent au café une autre activité, celle de l’essence avec les premières pompes à main. Les chaises de paille de la terrasse laissent place à celles de fer et de bois que nos anciens ont connu dans la plupart des bistrots. Paul se souvenait que le café se faisait le matin et que son grand père le maintenait au chaud sur du charbon de bois. Pour les fêtes du faubourg, depuis si longtemps disparues, on mettait la bière dans des comportes rafraîchies par les pains de glaces, qui venaient des glacières de Pradelles Cabardès  à dos d’ânes la nuit, emballés dans des feuilles.

Julien Autier, qui livrait le bois et le charbon, épouse Rose la fille d’Antoine  et ensemble ils assurent la relève de l’établissement familial qui devient en 1940 le Café Autier. A cette époque, les apéritifs étaient dans des petits futs  qui ont ensuite été interdits après la guerre. Les moyens de transport évoluent et peu à peu les voyageurs de la gare ont été remplacés par ceux de l’autobus. A son tour, Paul a contribué à l’affaire familiale…« Après l’armée j’ai pris en charge l’activité de livraison du bois et mon père s’occupait du café et des pompes à essence »  nous contait-il.

Progressivement, julien confie la direction de ces diverses activités à ses fils Paul et Louis . Mais, il assure jusqu’à ses 70 ans durant les heures creuses le service du café, pendant que ses deux garçons livrent le fuel, le bois et le charbon.

La gare cessait  de fonctionner aux alentours de 1955, mais les voitures de plus en plus nombreuses apportaient une nouvelle clientèle … le faubourg s’adapte…
Paul nous décrivait le café qui n’était alors qu’une grande salle avec encore  les bouteilles rangées dans les placards. Les lieux ne disposaient pas de toilettes et les clients utilisaient les wc publics de l’autre coté de la rue . En 1965, les pompes à essence deviennent électriques  et facilitent le travail de Louis. C’est en 1968 que sont arrivés les grands changements de l’établissement: L’agencement subit une importante métamorphose avec l’abaissement des plafonds, le remplacement du mobilier, l’installation d’un bar qui accueillait la machine à café, celle à pression, les réfrigérateurs qui ont permis la vente de crèmes glacées.

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Avant la construction de l’Autoroute, la nationale était si fréquentée que les bouchons occupaient tout le trajet de Carcassonne à Trèbes qui nécessitait 2 heures. L’importance de ce passage de véhicules n’était pas vraiment favorable à Paul et Louis, car les conducteurs hésitaient à perdre leur place dans la file  en s’arrêtant boire un verre.

 En 1984, les 2 frères ont vendu l’établissement qui est devenu le Drop, mais a perdu ses pompes à essence et son activité de livraison de bois charbon et fuel.

Jusqu’au début des années 2000 plusieurs gérants s’y sont succédés et ont pérennisé l’activité de bar. Fin 2004 l’endroit devient une brocante puis ferme définitivement.

authier-aujourd'huiAujourd’hui le propriétaire de l’immeuble a effectué de considérable travaux avec notamment la création d’appartements aux étages mais  le rez-de-chaussée devrait  un jour ou l’autre retrouver une activité  commerciale

 Le Faubourg d’hier et d’aujourd’hui …
Certaines maisons sont très reconnaissables, d’autres ont beaucoup changées comme celle qui est aujourd’hui  le tabac Presse de Carmen et Raymond

 

Les Forains d’Hier et d’Aujourd’hui

       Lorsqu’ils arrivent, Noël n’est plus très loin…  Nos amis forains ont pris place comme chaque année sur le parking des arènes et c’est avec grand plaisir que nous retrouvons les plus anciens et faisons connaissance avec les nouveaux.

Leur venue est une telle tradition qui s’est installée dans le temps, que pour certains il s’agit d’un incontournable rendez vous. Ils ont connu les parents qui amenaient leurs enfants, ils distraient maintenant leurs petits enfants.  En effet certaines familles comptent des parents, voir même des grands-parents, qui venaient déjà à Trèbes il y a plus de 50 ans.

Fabien  le maître des autos-scooters a pris la relève de ses parents Martine et Pierre. Ces derniers mariés en 72  venaient déjà installer ces « autos-tampons » à l’époque où la fête foraine réunissait les Trébéens sur les berges du canal. Vous les verrez sur les quelques photos de 2004 dans le diaporama.

Mais la plus ancienne famille est sans nul doute celle de Jackson (jeux de cascade) et Bambino (pinces à peluches).  Amédée le grand père venait déjà à Trèbes avec son cirque. Son fils Roland ( père de Jackson et Bambino) était encore là il y a quelques années avec son stand de ficelles et loterie. Les deux frères sont toujours fidèles au rendez-vous trébéen et Sony le fils de Jackson tient un stand de  pêche aux canards

Pour Jackie et son Frère Max c’est aussi une longue histoire de famille puisqu’Evelyne, la grand-mère, venait déjà à Trèbes. Ils reviennent chaque année avec les jeux de cascade et sont les doyens de la Fête.

les Trébéens connaissent bien Cathie et  Fanfan  qui sont aussi là depuis des décennies avec leurs jeux de cascades.

On retrouve également depuis des années …

Catherine et Jason avec le manège avec vrais poneys et celui de pouss-pouss (balançoires) et en nouveauté cette année « l’ espace quad  » . Priscillia et Laurent au manège Disney, William au stand de tir.

Les nouveautés
l’attraction à sensations fortes  » Batman  » a été installée par Fidjie et Jasson.  Shirley et Rémi nous proposent crêpes, churros et autres gourmandises. Pierre sur son stand suggère à la fois pêche aux canards et tir à l’arbalète.

Rendez-leur visite jusqu’à début janvier … l’an dernier nous nous étions étonnés du peu de fréquentation qu’avait suscité la fête foraine. Il serait dommage que nos forains, trop découragés ne reviennent plus !

Ils nous donnent rendez-vous tous les après-midi ainsi que le dimanche matin !

 

Trèbes d’Hier et d’Aujourd’hui… vue du ciel

       Même si nous n’avons pu faire des photos avec le même angle de vue , la comparaison est malgré tout possible. Ces photos sur le thème « Trèbes d’hier et d’aujourd’hui  » seront suivies au fil des jours de beaucoup d’autres.       avant1

 

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Les locaux pré-fabriqués du Collège ont laissé place à l’OMSL

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Trèbes Toile de Fond dans un Film de Marc Allégret de 1934

       Nous adorons échanger avec René Diédrich sur son thème de prédilection « le Trèbes d’hier ». Une discussion avec lui est presque toujours synonyme de la découverte d’une anecdote que peu de Trébéens connaissent.

Cette fois, c’est sur la piste du film «  Sans Famille »  dont des scènes ont été tournées chez nous à Trèbes avant guerre qu’il nous a lancé. Internet nous a permis d’affiner la recherche …  Après avoir éliminé la version cinématographique muette de 1926 qui relate  la fameuse histoire de Rémi d’après le roman d’Hector Malot, nous avons envisagé celle de 1934 réalisée par Marc Allégret… A ce stade de nos recherches le doute subsistait : Trèbes, pas Trèbes en toile de fond ??  Là encore la magie du web et la mise en ligne de vidéos par des passionnés nous a confirmé l’information de René…

Le film en question est en plusieurs petites vidéos d’une dizaine de minutes et nous avons fini par trouver 5 minutes d’images de Trèbes, le pont de la Rode, le Pont Vauban, le clocher… c’est avec plaisir que nous partageons cette découverte.

Encore merci à René pour sa précieuse information.

Ci-dessous  2 vidéos

Sur celle ci en fin de vidéo,  à la 9,34ème minute, vous pouvez voir le Pont de La Rode  avec tout au fond les platanes aujourd’hui abattus. 

  

Pour visualiser en plus grand format cliquez ICI

Ici jusqu’à 5,19 minutes la scène est tournée à Trèbes,  en arrière plan on reconnait le Pont Vauban, puis « l’arrivée de Rémi » semble avoir été tournée dans la virage au niveau de la distillerie. Le passage se termine par un panoramique du village.

Petit + : en suivant la prison de Carcassonne et  à 6,10 minute le pont levis à la Cité

 

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Histoire du Dancing Sarret

       A quelques coudées de l’ouverture du « Pasteur » (mi juin) sur l’avenue éponyme,  des natifs du village ont évoqué pour nous, les anecdotes qui les ont marqués à cette adresse. Pour eux, les 17 et 17bis  de l’avenue Pasteur, c’était le café Sarret et son dancing. Tout un univers synonyme de fête et de convivialité qui est ancré dans les mémoires. Si les prénoms Emile, Irène leurs restent familiers, c’est surtout de «  La Sarréto » ou la « mamé » comme ils la nommaient, qu’ils se souviennent. Ce sacré personnage qui décidait de l’acceptation où pas dans ce lieu où l’on dansait, séduisait, faisait la fête…  
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L’entrée de la salle dancing se faisait à l’époque par une porte tout au fond du café (l’actuel Café de l’Aude). Là, la Mamé ostensiblement installée avec sa chaise et son guéridon, obstruait le passage pour ne les laisser passer qu’un par un, après qu’ils se soient acquittés de leur dû : 20 centimes (de la première version des francs dans les années 50). La « Veuve Sarret » savait qu’ils cherchaient à « l’embrouiller » et ils le reconnaissent aujourd’hui en riant : «  on lui faisait de tout, on la faisait périr ». Ils l’entendent encore, dans son «  Quel âge tu as toi ? » tant de fois formulé.    

Après avoir amadoué le « cerbère en jupon », ils pouvaient profiter de la musique des orchestres, différent chaque semaine, qui se produisaient sur la scène. Sur ce thème aussi les souvenirs affluent : José Marson, René Cadres, Pol Sud… toutes ces formations qui faisaient guincher la jeunesse.  Coté dancing, pas de buvette, c’est au café à coté que l’on se désaltérait. Ils se rappellent aussi des garçons de café : Pierre Baillat, Valentin Querol … qui venait prêter main forte les jours de grande affluence.  

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Nos Trébéens de souche se souviennent aussi de la Fête du Village, pour la St Etienne en décembre. Avant la construction de la Salle des Fêtes au cœur du village (aujourd’hui démolie) c’est en ces murs que l’on se retrouvait à cette occasion. Les festivités s’articulaient autour du 26 décembre, jour de la St Etienne, patron de la ville. Durant 4 jours,  la population qui comptait à l’époque de 1800 à 2000 âmes, augmentait considérablement tant ont recevait dans les familles, à cette occasion là. Les jeunes qui organisaient la fête, effectuaient avec les orchestres le «  levant de table »… Les jeunes et les musiciens juchés sur des charettes, portaient la musique en porte à porte à l’heure du déjeuner, jusque dans les campagnes,  pour recueillir l’obole donnée par la population pour contribuer au cout des festivités.  Les propriétaires viticoles aidaient aussi au financement qui permettait jusqu’à 2 jours supplémentaires de fête.
Ces jours là, le Dancing Sarret n’était pas assez grand pour accueillir tous les festégaïres. « Les murs coulaient par la condensation, tant il y avait du monde, on dansait dans la rue ».

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Les lotos étaient aussi des animations auxquelles se pressait la population, ils se déroulaient en alternance chez les Sarret et au Café Pouzinc ( lui aussi démoli).

Le café/dancing Sarret a très longtemps été une véritable institution, un lieu de rencontre  et de vie incontournable. Plus tard après la construction de la salle des Fêtes (qui devenait aussi cinéma),  il restait une étape qui s’imposait pour la jeunesse trébéenne qui le dimanche avait son rituel : cinéma / Pâtisserie Denat / « Café Sarret ».

A Alexandre Layani qui va très bientôt redonner vie à ce lieu, en ouvrant son  « Bistro/Resto/Patio Le Pasteur »,  nous souhaitons une aussi belle réussite que celle qui a marqué « les années Sarret ».

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Un cimetière médiéval mis au jour à Béragne

       300 tombes dans un cimetière clos, la plus grande découverte en fouilles préventives

Plus de 300 sépultures médiévales sur un même site : « C’est la première fois en Languedoc que nous avons accès à un cimetière de cette ampleur, que l’on peut fouiller en totalité dans le cadre de fouilles préventives ». Pierre-Arnaud de Labriffe, de la direction régionale des affaires culturelles Languedoc-Roussillon, et Jérôme Hernandez, archéologue de l’Inrap  ( Institut national de fouilles préventives) ne cachaient pas leur satisfaction, hier, sur le domaine de Béragne, près de Trèbes.

 Propriété d’un syndicat mixte composé de la Région Languedoc-Roussillon et de Carcassonne Agglo pour y réaliser un parc régional d’activités économiques – projet actuellement en profonde léthargie -, ces terrains avaient fait l’objet d’une première série de fouilles. Des traces du néolithique, de l’âge du bronze et du fer, une ferme gauloise et un habitat médiéval (du XIIe au XIV e  siècles) avaient alors été mis au jour : « Mais les découvertes ont finalement dépassé ce qui avait été envisagé initialement », confient les archéologues.

 De fait, des crédits supplémentaires ont été alloués pour la fouille d’une cinquantaine d’hectares sur les 90 que compte la zone de Béragne. A l’ouest du site apparaît l’habitat, fait de pierres, ce qui est plutôt rare dans la région, et un espace constitué d’une centaine de silos.

 Vient ensuite une église en pierres, côté chœur, en bois et terre, côté nef : « En vis-à-vis, on trouve ce cimetière clos, composé d’une population d’hommes, de femmes et d’enfants, et d’une densité rappelant les cimetières urbains, alors que nous sommes en milieu rural », note Jérôme Hernandez.

 Les ossements découverts sont extrêmement bien conservés. Ce qui permettra, en laboratoire, d’étudier plus en détail des éléments riches d’enseignement. C’est le travail de l’anthropologue biologiste Richard Donat : « Un examen complet des 300 squelettes permettra de mettre en évidence les lésions pathologiques, qui nous aiguilleront sur le mode de vie et l’environnement de cette population. Sur les premières observations, on note cependant que cette dernière avait accès à une médecine d’un certain niveau (amputations, trépanations…), ce qui était très rare pour l’époque ».

 Les scientifiques termineront leur travail sur le terrain dans les prochains jours. Ils auront ensuite deux ans pour remettre leur rapport.

Histoire
Lien avec les chanoines
Le domaine de Béragne, propriété du seigneur Xatmarus à la fin du XIe siècle, fut progressivement cédé aux chanoines de la cathédrale Saint-Nazaire. Son emprise allait jusqu’aux limites de Montirat. Le fils de l’un des serfs fut confié aux religieux et devint, par la suite, après affranchissement, l’évêque Radulphe, de Carcassonne. Son tombeau est situé dans la basilique

 

Les Années Faby à la Trattoria

       La naissance de la Trattoria Napoli en 1994, et les années qui ont suivi sont immanquablement inscrites dans la mémoire de tous ceux qui allaient « Chez Faby ». Lorsque Fabrice Gréchi  a débarqué sur le port du Canal en créant le restaurant, il y a réuni tous les ingrédients qui font le succès d’une adresse. Bon sang ne saurait mentir et le jeune homme a très vite démontré qu’il avait dans ses gènes le sens du commerce, qu’il détenait surement de Gilbert son père, qui lui-même avait marqué les souvenirs du coté de Limoux. Tout en tâchant de se faire discret, le papa était près du fiston à ses débuts.

Très vite la Trattoria est devenue la seconde maison d’un tas de Trébéens et autres fidèles du Carcassonnais. Le restaurant transpirait du climat chaleureux d’une grande famille. Car oui pour Faby, l’esprit famille est aussi crucial que l’air qu’il respire :   les présences de Gilbert, de Marcel son oncle aux belles bacchantes, les visites fréquentes de sa maman, de sa sœur et autres membres du clan Grechi contribuaient à son bonheur. Cet esprit familial on le retrouvait aussi au sein de l’équipe…  sur notre diaporama vous reconnaitrez Spi, Jean Claude, Stéphane… et tous les autres.. impossible de les citer tous. Pour la belle saison la team s’agrandissait et il était flagrant que tous étaient heureux de bosser là. La « famille Trattoria » était aussi constituée des fidèles clients… il était des habitudes qui contribuaient à ce sentiment d’être comme à la maison. Il était fréquent de trouver devant la partie comptoir une floppée d’amis/clients qui stagnaient là durant des heures parfois avant de passer à table. Le personnel devait zigzaguer habilement au milieu de ce petit monde pour effectuer son service.

Autre aspect des années Faby qui ont marqué les mémoires … les soirées de la Tratto. Certaines étaient incontournables comme celles à l’automne où la « lessiveuse » entrait en fonction avec Maxou à la baguette, pour griller les châtaignes et où les amis prenaient place autour des tonneaux pour déguster le primeur sur des airs d’accordéon. Régulièrement d’autres « fêtes » ou concerts étaient programmés, et certains se souviendront peut-être d’une certaine Olivia (aujourd’hui Olivia Ruiz) qui avait chanté là avec son groupe Five dont faisait partie Didier qui était aussi employé de la Trattoria. Il y a eu aussi  entre autres le père d’Olivia avec sa formation Didier Blanc et la Belle Histoire. Tous les employés étaient toujours partants pour des soirées festives, ils enfilaient volontiers des déguisements et se grimaient avec plaisir. Nous avons souvenir des « Tratto Boy’s » et de cette rumeur badine qui laissait entendre que le personnel envisageait d’enregistrer d’un CD et qu’un producteur était sur le coup.

La famille, la joie, l’amitié, la fête… tous ces mots illustraient ce que l’on partageait chez Faby, jusqu’à ce jour de septembre 2000 où il perdait son papa dans des circonstances douloureuses. Le cœur n’y était plus et quelques mois après Faby vendait l’établissement à José  qui depuis pérennise brillamment l’activité du restaurant.

Nous croisons parfois Faby avec un réel plaisir sur le Carcassonnais, il officie  aujourd’hui pour la société Allianz Finance Conseil où les clients profitent maintenant de son sérieux et de sa franche cordialité.

 

Nostalgie …Les belles années au Young’s

       En classant des archives, nous avons réuni un tas de documents qui nous ont replongés dans les belles années du Young’s  Bar de Flo et Olivier Batet. Flo était déjà bien immergée dans la vie Trébéenne puisqu’elle avait le Félin depuis 1988 ( café Pouzenc cette institution au cœur du village ).

C’est  en 1995 qu’avec Olivier son frère, ils ouvrent le Young’s Bar. Même si, comme l’enseigne l’indiquait, l’établissement s’adressait aux jeunes, c’était plusieurs générations qui se côtoyaient là. Les anciens y prenaient place l’après midi pour jouer au bésigue, l’apéro réunissait des fidèles et quelle que soit l’heure on y croisait les dévoués Bambino et Faustin. En ce qui concerne le personnel tous ceux qui en ont franchi la porte se souviennent forcément de Janique, Dolores  ou Jean Charles.
La jeunesse trébéenne était là comme à la maison dans le respect des règles fixées par Flo et Olivier… c’était encore un temps où les jeunes savaient s’amuser sainement. C’est là que les Gremlins, accros de musiques électroniques avaient élu domicile et animé de très nombreuses soirées. Flo et Olivier étaient pour eux une grande sœur, un grand frère.

Des soirées dingues…
Le Young’s durant une dizaine d’années était le rendez-vous pour des  soirées folles sur des thèmes décalées, des évènements qu’ils étaient des centaines à partager. Flo et Olivier ne manquaient pas d’imagination pour des soirées dingues pour lesquelles  ils créaient avec l’aide des jeunes des décors incroyables. Ceux sont eux qui dans les années 90 ont initié les premières soirées halloween du carcassonnais. Des semaines de préparations pour des décors hallucinants, une salle de torture au fond, un cimetière dans le jardin avec les fausses tombes du film Frankenstein ( tourné à la Cité), une zone d’accident radioactif , des toiles d’araignées partout… . Les jeunes rivalisaient eux aussi d’inventivité pour les déguisements, nous avons souvenir d’un « Edouard aux mains d’argent » plus vrai que nature , un cul de jatte qui avait passé la soirée au ras du sol, Olivier transpercé par un espadon… et des monstres très réussis partout.   Il y  avait aussi les soirées anachroniques : les soirées plages hors saison avec un camion de sable étalé sur le sol du bar, des parasols à coté du radiateur… une ambiance surchauffée qui faisait oublier le froid extérieur. Les soirées : snow avec de la fausse neige propulsée, jungle avec de la végétation partout, prohibition où la déco n’aurait pas été reniée par Eliot  Ness… autant de rendez-vous qui réunissaient la jeunesse trébéenne.

 

Le Young’s version été
Aux beaux jours, c’est sur la terrasse et dans le jardin que l’animation  se déplaçait. Des concerts, des soirées foot avec écran géant et un tas d’autres thèmes ponctuaient la saison estivale. On pouvait prendre place à table avec des bonnes grillades avec en prime la possibilité de faire une partie de pétanque sur le terrain aménagé pour cela.
Lors des dates des musicales Flo a souvent accueilli à sa table, les artistes qui se produisaient aux arènes. Ils y appréciaient l’ambiance bonne enfant et festive des lieux. D’autres aspects réunissaient les gens au Young’s , ils  prêtaient la scène aux associations  comme aux Pitchoun’s sur nos photos, accueillaient le fan club d’Olivia Ruiz à ses débuts … autant de mains tendues auxquelles ils répondaient favorablement.
Petit clin d’œil aussi aux soirées jeux du mardi soir … du grand n’importe quoi , où Flo cultivait l’art de tricher avec un aplomb désopilant qui provoquait d’énormes fou-rires.

On croisait là souvent, la famille des frangins Batet, et pour ces occasions là 4 générations de femmes étaient réunies. Tout le monde où presque connaissait « Mamé » que l’on peut voir sur notre diaporama aux coté de Noël qui nous a hélas quitté récemment.
Le Young’s, c’était un état d’esprit basé sur l’échange amical, presque familial où la détente et la fête étaient reines… une ambiance regrettée que l’on devait surtout à la personnalité de ses patrons !

Aujourd’hui, Flo et Olivier au hasard de leur quotidien, rencontrent  ces jeunes qui sont devenus des pères et mères de famille… les souvenirs de ces années heureuses sont toujours  là et ils les évoquent avec émotion.

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